Publié le 14/10/2021 à 1252, Mis à jour le 18/10/2021 à 0807 Romain Duris joue Gustave Eiffel au moment de la conception de la tour qui porte son nom. Captue d'écran youtube / Pathé - VVZ Le film Eiffel consacré à l'ingénieur et industriel français prend trop de libertés selon l'un de ses descendants. Pour lui, le génie de son aïeul ne peut être réduit à une banale amourette». En colère, il a demandé aux producteurs que soit ajoutée la mention fiction romancée» au début du long-métrage. Il n'a vu que la bande-annonce, mais son avis est déjà tranché. Philippe Coupérie-Eiffel, arrière-arrière-petit-fils de Gustave Eiffel, est en colère contre le film sorti mercredi 13 octobre au cinéma. Intitulé sobrement Eiffel, le long-métrage n'est pas exactement un biopic, et la production assume avoir pris des libertés avec la réalité lire aussiEiffel, de Martin Bourboulon de l’amour à tour de brasIl retrace en effet la vie de Gustave Eiffel au tournant de sa carrière. Dans les années 1880, l'ingénieur et industriel originaire de Dijon vient de réaliser la Statue de la Liberté, fraîchement envoyée à New York. Ses obsessions tournent alors autour du projet de métro, l'enjeu majeur de l'époque pour Paris. Le gouvernement voit plutôt en Eiffel le maître d’œuvre de la future Exposition Universelle de 1889. C'est alors qu'il croise Adrienne Bourgès, un amour de jeunesse, qui va, en tout cas dans le film de Martin Bourboulon, l'inspirer et relancer sa créativité, pour concevoir la tour qui va le faire entrer dans l' Duris et Emma Mackey campent les deux personnages principaux. Historiquement, Gustave Eiffel a bien eu une histoire d'amour avec une Adrienne Bourgès à l'adolescence. Une histoire qui n'a jamais connu de second acte, selon son reconstitution imparfaite qui n'a pas plu à Philippe Coupérie-Eiffel. Le public méritait mieux, au moins la vérité» déplore-t-il dans les colonnes de Sud Ouest. Celui qui est aussi président de l'association des Amis de Gustave Eiffel regrette que le génie de Gustave Eiffel et son œuvre» soient réduits à une banale histoire d'amourette», qualifiant le long-métrage réalisé par Martin Bourboulon de vaudeville».Un courrier aux producteursInstallé en Gironde, Philippe Coupérie-Eiffel défend depuis des décennies la mémoire de son aïeul. Bien qu'il n'ait pas vu que la bande-annonce, l'homme a pu lire le scénario il y a un mois. Un récit qu'il n'a pas apprécié, puisqu'il a adressé un courrier à VVZ et Pathé, les coproducteurs du film. Dans sa lettre, il pointe du doigt les libertés prises avec la réalité historique et demande que l'inscription fiction romancée» soit ajoutée en début de procédure loin d'être une première pour lui. En 2011 déjà, il avait fait condamner Eiffage et sa filiale construction métallique», qu'il poursuivait en justice depuis cinq longues années pour que le géant du BTP cesse d'utiliser son nom dans diverses que la part de fiction contenue dans Eiffel, l'homme semble mal à l'aise avec le fait de voir la vie privée de son aïeul dépeinte dans un film à gros budget, comme il l'explique à Sud Ouest Peu importe la vie privée des grands hommes, c'est ce qu'ils nous ont apporté qui nous guide, et cela dépasse de beaucoup la fiction.» À lire aussiNotre critique de Vesper Chronicles la science-fiction se met au vertCRITIQUE - Ce film d’anticipation onirique tourné dans les forêts lituaniennes délivre un message écologique en prenant des voies Oscars s'excusent auprès de Sacheen Littlefeather, huée, après avoir refusé une statuette au nom de Marlon Brando en 1973L'actrice et militante amérindienne, Apache et Yaqui, a été conspuée lors de la cérémonie de 1973 alors qu'elle expliquait pourquoi Marlon Brando, qui n'était pas venu, déclinait son Oscar du meilleur acteur pour Le mortel d'Alec Baldwin les conclusions du FBI contredisent la version de l'acteurLe rapport du FBI sur l'accident ayant coûté la vie à Halyna Hutchins, directrice de la photographie, en plein tournage de Rust, il y a 8 mois, contredit Alec Baldwin. Il prétendait ne pas avoir appuyé sur la détente du pistolet. L'arrière-arrière petit-fils de Gustave Eiffel en colère Le public méritait mieux, au moins la vérité» S'ABONNERFermerS'abonnerMonsieurpossède, dans son jardin, un rosier magique qui apporterait la jeunesse éternelle au maître du jardin. Dans cette histoire nous croiserons également Romain, un jeune jardinier et Capucine, une femme mystérieuse qui connaît le secret des plantes. Cette histoire s’inspire de trois contes traditionnels, que la conteuse a transposés dans notre monde contemporain. Elle Un coin de parapluie Sylvie Baron Éditions Calmann-Lévy Territoires Quatrième de couverture À Vic-sur-Cère dans le Cantal, la villa Médard en impose par son élégance, ses secrets bien gardés, ses vies forgées autour de l’industrie du parapluie et d’une femme d’affaires exceptionnelle, Hélène Vitarelle. Remarquable dirigeante, au tempérament violent et à l’amour exclusif, elle fait trembler le personnel, plier sa famille, courber les échines. Son assassinat est un coup de tonnerre. Tout accuse son gendre, Jacques Naucelle, qui se suicide en prison, signant ainsi l’aveu de sa culpabilité. La seule à être persuadée de son innocence est sa maîtresse, Nina. La jeune femme ne voit qu’une personne capable de faire éclater la vérité sa tante Joséfa. Bien que dubitative, celle-ci se laisse convaincre par sa nièce de se faire embaucher comme domestique dans la famille Vitarelle pour mener sa propre enquête. Fine mouche sous ses rondeurs avenantes, Joséfa va mettre à nu les rouages d’une diabolique machination. Mon avis Après avoir lu trois livres, que j’avais adorés, de Sylvie Baron, j’avais écrit que cette auteure était devenue une valeur sûre pour moi. Aussi, en cette période de confinement, son dernier roman était ce dont j’avais besoin. Hélène Vitarelle est la dirigeante d’une entreprise renommée de l’industrie du parapluie. Cette femme d’affaires est connue pour son tempérament exigeant et autoritaire. Aussi, lorsqu’elle est assassinée, les suspects ne manquent pas. L’enquête est vite résolue, puisque tout accuse son gendre, Jacques. Ce dernier se suicide en prison, ce qui semble confirmer sa culpabilité. Nina, sa maîtresse, pense qu’il est innocent. Déterminée à le prouver, elle convainc sa tante, Joséfa, de se faire embaucher, avec elle, par la famille Vitarelle. Les deux femmes mènent l’enquête, en s’appuyant sur les personnalités de l’entourage de la défunte. Cependant, elle n’avait pas anticipé le fait qu’elles allaient s’attacher à certains membres de la famille. Celui qui a beaucoup touché Joséfa et qui m’a beaucoup émue est Frédéric. Il a dix ans et c’est le fils de Jacques, le meurtrier présumé. Il n’a plus de papa, sa grand-mère était très dure avec lui et sa maman, qui a toujours eu une personnalité fragile, est hospitalisée dans une clinique psychiatrique. Le petit garçon est livré à lui-même et n’a pas de loisirs de son âge. Grâce à Joséfa, il découvre l’innocence des jeux d’enfants, le plaisir de l’imagination ainsi que le pouvoir et la magie des mots. Une relation tendre se développe entre eux deux et j’ai aimé l’amour de la langue française, transmis par Sylvie Baron. Dans ses romans, l’auteure met en valeur une profession. Dans celui-ci, elle dépeint l’industrie du parapluie. J’ai été passionnée par la découverte des corps de métier qui participent à la fabrication de cet objet et par les innovations dont il bénéficie. Je n’imaginais pas que ce domaine pouvait être aussi captivant. Nina a un tempérament fougueux et passionné alors que sa tante est calme et posée. Toutes les deux ont beaucoup d’empathie, elles ont un grand cœur et elles sont extrêmement attachantes. Grâce à elles, la vérité sur la famille Vitarelle va éclater. Et sans leur ingéniosité, je ne l’aurais pas devinée le dénouement est inattendu et excellent. Conclusion J’ai adoré Un coin de parapluie. Une fois encore, ce n’est pas la police qui mène l’enquête, ce sont des personnes dont ce n’est pas le métier, ce qui permet une identification forte avec elles. Elles utilisent leur intuition et leur intelligence pour découvrir la vérité. J’ai aimé découvrir une tradition que je ne connaissais pas celle de l’industrie du parapluie, à Aurillac. J’ai, également, été émue par l’attention que Joséfa apporte à Frédéric, ce petit garçon délaissé. Enfin, en amoureuse des livres, je ne pouvais qu’être sensible à la poésie de l’auteure quand elle les évoque et à l’amour qu’elle porte aux mots. Après la lecture de ce superbe roman, vous pourriez être pris d’une envie de ranger votre bibliothèque et de proposer, à certains de vos livres, de partir en escapade. Je remercie sincèrement Adeline des Éditions Calmann-Lévy pour ce service presse. De la même auteure Terminus Gabarit Le Cercle des derniers Libraires Un été à Rochegonde
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Score 6.84 / 10. Chacun d’entre nous s’est déjà retrouvé au moins une fois, au c?ur de la tourmente?Au nom de la vérité est une nouvelle fiction quotidienne de vingt-six minutes,
Journaliste de l'agence Premières Lignes et réfugié sur le toit, Martin Boudot a pu filmer la fin de l'attaque du 7 janvier 2015. Les théories du complot, c'est parfois drôle. Mais quand vous vous retrouvez au milieu, c'est tout de suite beaucoup plus terrifiant. Depuis quelques semaines, des sites prétendent que ma vidéo des attentats de "Charlie Hebdo" est fausse, qu'elle a été retouchée, qu'on peut y voir des policiers regarder les frères Kouachi sans rien faire, etc. L'article d'un site en particulier me met en cause. Je ne voulais pas leur répondre, puis j'ai vu que sur Facebook personnes "likent" ce site. Soit autant que le nombre de personnes qui "likent" "Cash Investigation", l'émission de France 2 pour laquelle je travaille. Hallucinant. Cette fois, j'ai donc répondu, point par point. En espérant convaincre certains de ces lecteurs que ces idéologues du complot jouent sur leurs peurs pour mieux leur vendre leur salade. Pourquoi je vous réponds Cher Panamza, On m'a dit de ne pas vous répondre. Qu'il ne fallait pas donner d'importance à "des complotistes". Que vous n'en valiez pas la peine. Le problème, c'est qu'à force de vous ignorer, on vous renforce dans vos convictions. On valide l'idée selon laquelle nous avons quelque chose à cacher, qu'il y a quelque chose de louche, qu'il y aurait même un complot... Et puis il y a quand même personnes sur Facebook qui croient ce que vous dites, vous le "journaliste indépendant" au dessus de tout soupçon de manipulation. Alors voici point par point les réponses à vos questions. Ah oui en fait, puisque vous êtes un si bon enquêteur, je suis un peu surpris que vous n'ayez pas réussi à trouver mes coordonnées téléphoniques, mon adresse mail, mon Facebook ou mon Twitter. C'est dommage, ça vous aurait évité ce moment gênant. 1. "Vidéo falsifiée" >> une accusation grave Commençons avec le titre de votre "enquête" "Attentat à Charlie Hebdo la vidéo 'amateur' était falsifiée." C'est vrai que ça envoie. Même pas un conditionnel. L'affaire est conclue. Vous avez enquêté et la République va trembler. Mediapart n'a qu'à bien se tenir. Vous m'accusez donc, sans jamais m'avoir contacté, d'avoir trafiqué ma vidéo... C'est grave comme accusation. Mais rassurez-vous, cher Panamza, je vous ferai grâce de vous poursuivre en diffamation, je sais à quel point les temps sont durs pour les complotistes. Il faut bien se démarquer, le secteur est surchargé. Vous êtes déjà pardonné. 2. "Il apparaît dans une vidéo qu'il aurait filmée" >> faux "Journaliste de l'agence Premières Lignes, Martin Boudot apparaît curieusement vers 0'33 dans la vidéo qu'il aurait pourtant lui-même filmé sic – aux alentours de 11h40." Aïe... Ça commence mal... Pour tout vous dire, nous étions deux à filmer. La vidéo dont vous parlez, c'est celle de l'un de mes collègues. C'est lui le premier à avoir envoyé sa vidéo, à iTELE donc. C'est pour cela qu'on me voit. Pour ma part, j'enverrai ma vidéo au JT de France 2 une heure plus tard. C'est aussi simple que cela. Désolé Panamza. 3. "Il ne connaît pas le 'monsieur de la maintenance'" >> pourquoi ? "Sollicité, ensuite par CNN et BFMTV au sujet de son scoop, Boudot a tenu une étrange déclaration sur l'antenne de RMC. Lors de son entretien réalisé -en direct- le lendemain matin avec Jean-Jacques Bourdin, le jeune homme, ... a ainsi affirmé incidemment à 11'50 qu''on connaissait bien le responsable de la maintenance' qui fut abattu – en premier – par les terroristes. Problème l'homme en question – dénommé Frédéric Boisseau et salarié de Sodexo – effectuait là son premier jour dans l'immeuble dans lequel se côtoyaient, depuis l'été dernier, les équipes de 'Charlie Hebdo' et de Premières Lignes." Là, vous m'avez eu... En flagrant délit de mensonge ! Beau travail, Woodward ! Allez, je vous donne mon explication. Au moment des faits, nous apprenons que "le monsieur de la maintenance a été tué". Aucun nom nous est donné. Pour nous, c'est évident, il s'agit du "monsieur de la maintenance" que nous voyons tous les jours, à l'accueil. Puis nous sommes trimbalés de cellule de crise en cellule de crise, d'hôpital en hôpital, de déposition en déposition. Au moment de l'interview avec RMC, je crois encore qu'il s'agit de la personne de l'accueil que nous voyons tous les jours. Ce n'est que quelques heures plus tard que nous apprendrons qu'il s'agit de Frédéric Boisseau. Permettez-moi une question quel serait l'intérêt pour nous de mentir sur ce point ? J'ai beau essayé de vous suivre mais à votre avis, on couvre qui, exactement, en mentant ? Les juifs ? La DGSE ? Sodexo ? Rastapopoulos ? 4. "Une vidéo volontairement dégradée" >> faux "Depuis le 7 janvier, les images filmées par Boudot et diffusées par l'ensemble des chaînes y compris étrangères, comme CNN et Sky News semblaient – au regard de leur aspect flou – avoir été capturées avec un ancien téléphone portable. En réalité, il n'en était rien le document obtenu par la correspondante parisienne de Vice News révèle, pour la première fois, un format visuel digne des smartphones modernes. D'où cette question pourquoi les chaînes de télévision ont-elle diffusé une version dégradée du document – pourtant historique – de Boudot ?" J'aime quand vous me posez des questions, Panamza. Si seulement vous m'aviez contacté... Ma réponse dans un premier temps, j'ai envoyé ma vidéo via mail. Du coup, la qualité a été compressée. Entraîne-toi chez toi, tu verras que ça le fait aussi. Puis, quelques jours plus tard, nous avons mis à disposition la vidéo en bonne qualité. Vice News fait partie des médias qui l'ont récupérée. CQFD. 5. "La DGSE, une influence contraignante" >> faux désolé "Reste à savoir qui est à l'origine de cette altération volontaire de la vidéo le journaliste Martin Boudot, son agence de presse Premières Lignes, les chaînes récipiendaires du document ou un mystérieux intermédiaire ? Un fait est acquis s'il n'existe évidemment pas de 'main invisible' capable de commander secrètement tous les organes de la presse écrite et audiovisuelle, une influence contraignante et passée sous silence s'exerce néanmoins dans la plupart des rédactions importantes. Elle provient de la DGSE, bastion du contre-espionnage français." Ah nous y voilà ! Je me disais aussi... Alors, Panamza, je vous confirme je n'ai jamais été contacté par la DGSE. Personne ne m'a demandé d'altérer l'image de ma vidéo. Pas la DGSE, ni le Mossad, ni les chinois du FBI. C'est juste une histoire de vidéo compressée par mail. Ça fait moins rêver, c'est sûr, mais la vérité est parfois aussi simple. 6. "Deux mystérieux individus" >> deux ouvriers également témoins "Dans le journal télévisé de David Pujadas, le journaliste Franck Génauzeau, en charge du sujet, a prononcé ainsi à 10'15 ce commentaire au sujet de la séquence affichée ci-dessous 'Il y a deux hommes sur cette image.' C'est faux. En réalité, il y en a quatre deux terroristes au milieu de la rue et, visibles juste au-dessus, deux inconnus – debouts sur une terrasse. ... Aujourd'hui, il est possible d'affirmer que l'activité et l'identité de ce vidéaste – présent lors de ce moment crucial – ont été délibérément occultées par la presse traditionnelle." Heu... Ok... Oui en effet sur la vidéo, il y a deux ouvriers qui filment également la scène... Je ne vous cache pas que lors d'un attentat, on parle plutôt des hommes qui ont tiré plutôt que de ceux qui les filment... Je ne vous suis pas, Panamza, où voulez-vous en venir ? 7. "La terrasse a disparu" >> non, la voici "À ce jour, une seule chose est certaine la terrasse aux rebords blancs depuis laquelle Janek avait capturé sa vidéo a disparu. Panamza s'est procuré des images – capturées le 24 janvier – de l'état du chantier entamé l'été dernier et visiblement terminé. Surprise, surprise l'installation qui a permis de filmer confortablement le départ tonitruant des terroristes – ainsi capturé sous le meilleur angle – n'est plus. Ce qui semblait constituer une terrasse a finalement laissé place à un toit gris et dorénavant hermétique." Vous êtes géniaux, Panamza. Si je vous suis bien, les deux ouvriers polonais n'étaient en fait pas vraiment ouvriers et en plus la terrasse depuis laquelle ils ont filmé les deux assaillants n'existe plus. J'ai bon ? Vous savez, au lieu de récupérer des images, vous pourriez vous déplacer. Je suis sympa, je viens de le faire pour vous. Je viens de prendre en photo la terrasse. Je vous l'envoie par mail oui j'ai trouvé votre adresse mail moi. Merci de la poster dans mon droit de réponse. Vous verrez que la terrasse est toujours là. Rien n'a changé. Absolument rien. Dommage parce que là, même moi j'ai failli y croire, Panamza. Le coup de la terrasse qu'on fait disparaître, fallait y penser. Pour le reste, je vous laisse à vos propres conclusions et vos certitudes. Je ne répondrai que sur ce qui me concerne directement. L'addition de fausses infos ne fait pas une vérité J'espère simplement que ça aidera certains de vos lecteurs à réfléchir. Car si il peut être légitime parfois de se poser des questions sur la version officielle, posez-vous aussi des questions sur ceux qui vous apportent une vérité officieuse, sans rien avoir vérifié. Et rappelez-vous l'addition de fausses informations ne fait pas une vérité. Je ne sais pas ce qui me fait le plus peur, Panamza que vous profitiez des peurs pour exister et vendre votre salade ou que vous soyez si persuadé du complot permanent que vous en oubliez les faits. Et surtout, je sais que c'est dur, mais essayez de contacter les personnes que vous mettez en cause. Peut-être qu'après vous pourrez vous présenter – comme vous le faites sur votre site – comme un "journaliste indépendant". Sans rancune. Je vous embrasse. Votre complotiste préféré.LeComte de Monte Cristo – Série – SensCritique Synopsis : Alors qu'il allait se fiancer avec Mercedes Herera, Edmond Dantes est arrêté pour Edmond Dantès va bientôt être capitaine et épouser la belle Mercedes “The Count of Monte Cristo” (Le Comte de Monte-Cristo, 1844) is an adventure novel by French author Alexandre Dumas (père) Edmond Dantès va bientôt être Notes 1 Sur la place de l’histoire et le statut de l’historien, je renvoie à deux classiques B. Guenée dir., Le métier d’historien au Moyen Âge. Études sur l’historiographie médiévale, Paris, Publications de la Sorbonne, 1977 ; id., Histoire et culture historique dans l’Occident médiéval, 2e éd., Paris, Aubier-Montaigne, 1991. 2 Œuvres de Georges Chastellain, éd. par J. Kervyn de Lettenhove, t. 1 Chronique, 1419-1422, Bruxelles, Heussner, 1863, p. 11-12. Sur le personnage et sa carrière Delclos, Le témoignage de Georges Chastellain, historiographe de Philippe le Bon et Charles le Téméraire, Genève, Droz, 1980 ; J. Dufournet, Retour à Georges Chastelain », Le Moyen Âge, 88, 1982, p. 329-342 ; G. Small, George Chastelain and the Shaping of Valois Burgundy. Political and Historical Culture at Court in the Fifteenth Century, Londres/New York, The Boydell Press, 1997. 3 George Chastelain, Les exposicions sur Vérité mal prise ; le Dit de Verité, éd. par Delclos, Paris, Champion, 2005. Les éloges au duc cités ici apparaissent à la strophe XLV du Dit, p. 204, v. 353-355. 4 Voir en dernier lieu l’introduction de Delclos dans George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 7-8. 5 Ibid., p. 193-210. 6 Ibid., p. 25-192. 7 E. Doudet, Poétique de George Chastelain 1415-1475. Un cristal mucié en un coffre, Paris, Champion, 2005, passim. 8 Œuvres de Georges Chastellain, éd. par J. Kervyn de Lettenhove, t. 6 Œuvres diverses, Bruxelles, Heussner, 1864, Introduction, p. X En donnant ce titre à ce poème, nous avons cru exprimer la pensée de l’auteur qui, au risque d’exciter des haines redoutables, se croyait tenu de ne jamais cacher la vérité ». La pose avantageuse du poète fait une première victime, et non des moindres, dans le monde érudit. 9 G. Small, George Chastelain and the Shaping of Valois Burgundy…, op. cit., p. 118. 10 J. Cerquiglini-Toulet, Le Dit », dans La littérature française aux xive et xve siècles. Grundriss der romanischen Literaturen des Mittelalters, Heidelberg, Winter, 1988, p. 86-94. 11 N. Pons, Pour ce que manifestation de Vérité. Un thème du débat politique sous Charles VII », dans D. Boutet, J. Verger dir., Penser le pouvoir au Moyen Âge viiie-xve siècle. Études offertes à Françoise Autrand, Paris, Rue d’Ulm, 2000, p. 343-363. 12 Œuvres de Georges Chastellain…, op. cit., t. 1, p. 11 […] ayant retiré mes yeux dessus eux et assez incorporé les cas advenus et le vray rapport entendu […] ; ibid., p. 12 […] ay fait concordance et espluchemens de vérité […] » et […] léal François avec mon prince, osant prononcer vérité contre mon maistre où besoin sera […] ». Ce postulat d’objectivité n’est évidemment pas respecté tant que le maître de Chastelain se trouve être le bon duc » Philippe. Son successeur, Charles le Téméraire, si éloigné de l’idéal princier qu’avait pu incarner son père au dire de l’historiographe, fait davantage les frais de la libre critique annoncée. 13 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 26 […] ains me delitoie a parmaintenir la verité estroite de mon œuvre, tant par justification de mon maistre et prince le duc innocent et proudomme comme pour reduire par aigreurs veritables a la voye de raison saine les desvoiéz […] ». 14 Ibid. […] et moy, povre homme, profereur de verité sainte [François] m’acueillerent en indignacion a sa cause, ay composé ce livre en prose ou le premier livret fait poetiquement en metres est compris dedens de lettre a lettre, sans riens mucier ne recopper de l’original dont la mesveillance me fut causee ». Sur le pouvoir sacré du poète, voir les pages très éclairantes de E. Doudet, Poétique de George Chastelain…, op. cit., p. 138-143. 15 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 27 […] plain de passion amoureuse ay intencion de deduire estroitement entre deux parties discordantes sans faveur et sans flaterie, comme vérité me donne entendre […] » – la revendication d’impartialité n’est pas sans parenté avec celle de la Chronique. 16 Ibid., p. 197, v. 126-128 Qui veult s’en rie et a qui plaist s’en cource, / La verité est clere et si est telle, / Tesmoing tout sang de bonne parentelle ». 17 Ibid., p. 199, v. 201-207 Vostre orgueil grant et hautaines manieres, / Vos cuers essors en nouvelle fortune / Avec mespris de nos povres tannieres / Que vous pensez fouler de vos bannieres / Se Dieu gardoit pour nous tel infortune, / Tous ces poins cy nous sont cause oportune / D’entrer droit cy en ceste parole aigre ». 18 Ibid., p. 207, v. 457-464 Ne tous vos clers ne toutes leurs contreuves, / Ne tous les haulx engins qui vous soustiennent, / Et fussent ilz plus habondants que fleuves, / Plus infinis que les goutes des pleuves / Et plus subtilz que ceulz qui d’enfer viennent, / Se contre honneur et verité ne tiennent, / Faire apparoir eulz tous ilz ne sçaroient / De quoy d’un grain sa gloire terniroient » – il s’agit bien évidemment de la gloire de Philippe. 19 Ibid., p. 143 [vérité] est baude et fiere de soy comme lyon, et de sa nature victorienne et confonderesse des cuers doubles ». Baude » signifie hardie. 20 Chastelain a ainsi consacré deux œuvres à son seigneur, intitulées Le Lion Bendé Epistre au bon duc Philippe de Bourgongne et Le Lion Rempant. Voir, respectivement les Œuvres de Georges Chastellain, op. cit., t. 6, p. 147-166, et H. Kondo, Le “lion rampant” et “l’universelle araigne” », Revue des Amis de Ronsard, 7, 1994, p. 1-28. 21 La fin des Exposicions se confond avec une prière à Charles VII qui instaure une double pacification, politique – ou diplomatique –, et littéraire George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 180-192. 22 Sur le rôle de l’allégorie dans le rétablissement de la concorde E. Doudet, Poétique de George Chastelain…, op. cit., p. 656. 23 Ead., De l’allié à l’ennemi la représentation des Anglais dans les œuvres politiques de George Chastelain, indiciaire de la cour de Bourgogne », dans D. Couty, J. Maurice, M. Guéret-Laferté dir., Images de la guerre de Cent Ans. Actes du colloque de Rouen 23, 24 et 25 mai 2000, Paris, Presses universitaires de France, 2002, p. 81-94. 24 Voir supra, note 18. 25 Des analyses remarquables, là encore, chez E. Doudet, puisque ces personnages forment aussi la cohorte des mauvais lecteurs Poétique de George Chastelain…, op. cit., p. 451, 466-467 et 762-764. 26 Ibid., p. 431-432. 27 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 196, v. 97-104 Pardonnés moy, François, de ce prologue, / Dont la sentence est d’assez loings querue. / S’il y a riens qui point ne qui derogue, / Vous avez clers, mettez le en dyalogue / Le cler se treuve en raison debatue. / Mais toutevois sans que je desvertue / Vostre honneur viel ne charge de poussiere, / Vous et vos fais m’en sont cause fonsiere ». 28 Ibid., v. 105-112 Vous et nous tous jadis fumes ensemble / Un corps uny soubz ung divin gouverne. / Mais venue est celle heure, ce nous semble, / Qui vous de nous distrait et desassamble/ Par viel venin et envie moderne. / En quoy chascun qui entent et discerne / Et du sentier du vrai droit ne desvoie / S’apperçoit cler de vostre oblique voie ». 29 Ibid., p. 196-199. 30 Ibid., p. 200-202. 31 Ibid., p. 202-203. 32 Ibid., p. 203-207 – un très long passage, donc, est voué à la louange sans frein de Philippe le Bon. C’est en vérité la fonction principale de cette pièce. Le passage cité ci-dessus correspond aux vers 369-370. Significativement, le champ sémantique de l’ outrepas » est mobilisé pour construire l’hyperbole C’est le miroir des haulx roys et des princes. / C’est l’outrepas ouvrage de nature » ibid., p. 204, v. 361-362. 33 Ibid., p. 207-209, notamment p. 208, v. 481-485 Bien le porrez molester et combatre / S’ainsi le veult fortune ou destinee. / Mais ne sarez pour tout vostre debatre / Son honneur pur infecter ne rabatre / De quoi sa vie en terre est couronnee ». 34 Ibid., p. 209-210. 35 Ibid., p. 210, v. 553-560 Dieu maine a mieux ce qui est mal en voie / Et mette en paix ce qui pend en discorde. / Et a tous ceulx qu’amour duit et convoie, / Dieu en l’estroit de leur cas leur envoie / Honneur, salut, grace et misericorde. / Dont au regart de ce que je me recorde / Fruit y a povre et encore moins delit. / Mais tel l’ai fait angoisseux en mon lit ». 36 Ibid., p. 33 [C’est Indignacion qui parle] et tu, en recompense de benefice receu, en rendicion de gratuité obtenue plus que a ton appartenir, ingrat envers ta bonne fortune et ceulx qui te ont bien fait, tu payes sucre par venin, tu payes baisiers par morsures, tu paies acolemens par plaies mortelles, tu rens mal pour bien et mort pour vie ». 37 Le trône du roi et l’orgueil de ses sujets sont fréquemment rapprochés George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 199 Bien congnoissons que vous avez ung thronne / Par dessus nous plain de gloire ancienne / Et qu’en vos mains tenez ceptre et couronne / Ou tout l’onneur du siecle s’avironne, / Se cours avoit vertu cotidienne. / Mais vanité de gloire terrienne / Vous a les cuers si pus de son buvrage / Que la hantise en est fiere et sauvage ». 38 Delclos utilise d’ailleurs cette allusion à la maladie de Charles VII pour affiner la datation de l’œuvre ibid., p. 8. 39 L’avant-dernière strophe du poème est volontairement mystérieuse. La vision Meronnée », qui a égaré certains critiques, renvoie de façon sibylline à un passage du pseudo-Frédégaire, où le roi Chilpéric a la préscience du destin des trois générations qui le suivront, dont la dernière sera en proie aux luttes intestines. Voir E. Doudet, Poétique de George Chastelain…, op. cit., p. 468-469, ainsi que les notes de Delclos, dans George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 173-174. 40 Très indirectement évoquée à la strophe XIV, voir supra, note 28. 41 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 25 mais pour ce que moy, le moindre des hystoriographes françois, une fois sur la fin de leurs eages et ou temps de la plus haulte difficulté dure que onques je veisse entre eulx, sur le point ultime de meschief prochain, dont cause estoit et nourrissement constrainte habitacion et refuge de l’eritier de la couronne, le dauphin viennois, es pays de ce duc, son humble recueilleur […] » – cet extrait fait partie de la première phrase de l’ouvrage, qui compte un peu plus de deux pages dans le manuscrit et 37 lignes dans son édition moderne. 42 Ibid., p. 117 Que est il a eux, se tiltre n’ont juste en leur propre region de la querir illec ou mouvoir, de la venir querir au Luxembourg, hors de leur congnoissance, hors de leur dicion et appartenir, pour mouvoir et exciter celui qui jusqu’à la darniere et toute extreme constrainte fuit la mellee ? » ; et ibid., p. 151 retourne arriere a l’aliance faite avec le roy Lancelot en son contraire, de qui main encore vous François tenez enonglee la querele de Luxembourg ». Sur les circonstances de ces menées R. Vaughan, Philip the Good [1970], Woodbridge, The Boydell Press, rééd. 2002, p. 348-349. 43 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 62 Me remembre aussi, dame, des aliances qui ont esté quises nouvellement, contraires de ce prince, et des querelles acceptees non necessaires, dont ceulz qui les ont quises et conspirees sentent comment il leur en est, et les entendent bien aussi et assavourent ceulz a qui elles toucent. Ne t’en nomme nulles pour tant, quant tu les entens toutes, mais il en y a de prises et de tollues, et de faites et de soustraites en desespoir de l’acteur et d’autrui, dont passionné en cuer ne s’en est peu taire, et a osé mettre la campane au chat pour escrier lesion et foulure de l’innocent ». Ce sous-entendu se comprend mieux à la lecture des propos de l’ambassade menée par Jean de Croÿ en février-mars 1459, rapportés par Chastelain lui-même George Chastelain, Chronique. Les fragments du livre IV révélés par l’Additional Manuscript 54156 de la British Library, éd. par Delclos, Genève, Droz, 1991, p. 182. Il ajoute toutefois dans les Exposicions la mention d’un pacte franco-danois dont la chronique ne fait pas mention George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 151-152 retourne après au roy des Danois, lequel lui faisant offre de cinquante mil hommes a son siege de Deventer pour entrer en la conqueste de Frise, vous François lui avez soustrait maintenant ». 44 Ibid., p. 134-135, notamment p. 135 et ne fust que celui de Lille une fois, la ou ung sergent de Parlement vint rompre a marteaux de fevre la prison de ce duc, lui estat joignant a six maisons pres, pour toutevoies ung garnement le pire des autres, dont il estoit suffisant assez pour en faire justice et raison ». 45 George Chastelain, Les exposicions…, p. 60-61. 46 Sur l’affaire, voir M. Vale, Charles VII, Londres, Methuen, 1974, p. 135, 158, 169 et 204-209 ; sur sa médiatisation F. Collard, Chronique judiciaire ? Le procès du duc d’Alençon et la littérature historiographique du temps », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 25, 2013, p. 129-143. 47 Œuvres de Georges Chastellain, éd. par J. Kervyn de Lettenhove, t. 3 Chronique, 1454-1458, Bruxelles, Heussner, 1864, p. 422. 48 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 148 Va et t’en retourne a Vendome, la ou tu trouveras vivement escript le contenu de cestui article et les causes et raisons sur lesquelles est fondé, quant onques ambaxade de prince ne fut si froidement traitee comme estoit celle qui y estoit de par lui ». 49 P. M. Kendall, Louis XI, Paris, Fayard, 1974, p. 94. 50 Ibid., p. 91-93 et 95-99. Voir aussi J. Favier, Louis XI, Paris, Fayard, 2001, p. 176-177, pour une révision à la baisse des prétendues machinations du dauphin. 51 Leur correspondance figure dans les Dispatches with Related Documents of Milanese Ambassadors in France and Burgundy, 1450-1483, éd. et trad. en anglais par P. M. Kendall et V. Ilardi, Athens, Ohio University Press, 1970-1971 notamment les vol. 1 et 2. Par exemple, vol. 1, p. 370, et vol. 2, p. 214-216, pour l’annonce d’une invasion imminente des territoires bourguignons, ou p. 431-432 pour une prédiction de guerre à l’initiative de l’entourage du roi formulée par Francesco Coppini, légat pontifical et ambassadeur milanais. 52 Ainsi dès la fin 1457, quand Charles VII surprend son monde en survivant à son futur gendre, Ladislas Ier de Bohême ! Voir M. Vale, Charles VII, op. cit., p. 173. 53 Ibid., p. 170-172. 54 Lettre de Francesco Coppini à Francesco Sforza, datée du 18 juin 1461, qui se fonde sur les rumeurs circulant à Bruges voir supra, note 51. Il faut rappeler que Charles VII meurt à Mehun le 22 juillet. 55 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 19. 56 R. Vaughan, Philip the Good, op. cit., p. 353. 57 George Chastelain, Chronique. Les fragments du livre IV…, op. cit., p. 297 et 303. 58 Journal parisien de Jean Maupoint, prieur de Sainte-Catherine-de-la-Couture, 1437-1469, éd. par G. Fagniez, Paris, Champion, 1878, p. 48 Par quoy ledit feu roy Charles VIIe par plusieurs fois avoit eu propos de faire forte et aspre guerre audit duc de Bourgongne. Et de fait au moys d’aoust ensuivant, dont ledit roy Charles mourut à la Magdaleine en jullet, estoyt ordonné, comme aucuns chefz de guerre disoyent, pour qu’il seroit assailly, mes la mort prevint l’entreprise dudit Charles, par quoy tout cessa de laquelle mort tout le royaume fut troublé, grans et petis, jeunes et vieulx ». Il s’agit là d’un ajout très postérieur aux faits, fondé peut-être sur une indiscrétion de chef de guerre », car au paragraphe qui dépeint la mort de Charles VII, l’auteur avait simplement établi ibid., p. 40 et estoit ce royaume en plaine paix et bonne tranquillité tout par tout » ! 59 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 26 Dont, et pour ce que ledit livret fut divulgué en diverses mains et que possible est que la copie en demeure jusqu’en la fin du siecle […] ». 60 Ibid., p. 26 fis lors ung livret a l’enseignement de raison saine et a poix de conscience tresgravement examinee, que François toutevoies prindrent aigre et en fus durement mesvolu jusques a estre menacié de grief de corps, qui feust peu venir jusqu’à la main mise ». 61 Ibid., p. 19-20. 62 Ibid., p. 20. 63 E. Doudet, Poétique de George Chastelain…, op. cit., p. 701-703. 64 George Chastelain, Les exposicions…, op. cit., p. 196. 65 G. Small, George Chastelain and the Shaping of Valois Burgundy…, op. cit., p. 125-126. 66 L’une des plus célèbres prend un tour national » entre les cours de France et d’Angleterre à la fin du siècle – même si les tenants de l’Angleterre sont pour la plupart des étrangers. H. L. R. Edwards, Robert Gaguin and the English Poets, 1489-1490 », The Modern Language Review, 32, 1937, p. 430-434 ; D. Carlson, Politicizing Tudor Court Literature Gaguin’s Embassy and Henry VII’s Humanists’ Response », Studies in Philology, 85, 1988, p. 279-304 ; G. Lecuppre, Henri VII et les humanistes italiens élaboration d’une légitimité princière et émergence d’un foyer culturel », dans L. Rotondi Secchi Tarugi dir., Rapporti e scambi tra umanesimo italiano ed umanesimo europeo, Milan, Nuovi Orizzonti, 2001, p. 51-64. 67 G. Small, George Chastelain and the Shaping of Valois Burgundy…, op. cit., p. 124. 68 H. Kondo, Le “lion rampant” et “l’universelle araigne” », art. cité. 69 E. Doudet, Poétique de George Chastelain…, op. cit., p. 703 Héritage non voulu, forlignage d’intentions et de style, les ballades autour du Lion Rempant, par la violence qu’elles font subir aux signes, soulignent les périls potentiels d’un legs littéraire mal maîtrisé ». 70 Voir les critiques apportées par É. Lecuppre-Desjardin, Proclamar la autoridad, afirmar el poder, seducir el pueblo. Una reflexión sobre la communicación en los antiguos Paises Bajos Borgoñones », Edad Media. Revista de Historia, 13 La communicación política en la Edad Media, 2012, p. 103-121. Aunom de la vérité: Machination amoureuse. Каде да се погледне . Емисијата не е достапна во државата. СОДРЖИНА. ПРЕПОРАКИ. Опсада Алкатраза (2002) денес. У овом филму Сасха Петрошевичи Ник Фрејзер се наѓу изненада у затвору “Нови Алкатраз .