🎮 Des Bateaux Participent À Une Régate Correction

Nousle concentrons sur la période juillet-aout 2022 afin de permettre à tous de participer aux évènements des autres clubs en Baie du 15 au 18 aout, avec chaque jour une régate en l’honneur de nos villes sponsors : Houlgate le 15, Dives le 16 et Cabourg le 17, et remise des prix le 18, et en marge des ces compétitions nautiques, des rencontres avec les villes et des
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Téléchargercette image : Balatonfured, Hongrie. 14th juillet 2022. Une vue générale des bateaux à voile participant à la course de bateaux à voile Blue Ribbon Regatta 54th, également connue sous le nom de Kékszalag. Cette année, 516 navires ont participé à la course autour du lac Balaton. La ligne de départ et d'arrivée de la régate internationale longue

Mac Miche, médaillé d’or aux Jeux olympiques d’été de 1912. Présentation La série internationale 6 Metre est une classe de la jauge internationale. À l’instar des autres classes de la jauge internationale, les bateaux doivent correspondre au résultat d’une formule dont les paramètres sont la longueur de flottaison corrigée, le déplacement et la surface vélique. La valeur résultante de la formule, exprimée en mètre, qui est proportionnelle à la vitesse maximale théorique d’un tel voilier, ne doit pas excéder 6 mètres. Cette contrainte laisse une certaine place à la créativité et les voiliers de la classe peuvent présenter des différences notables, contrairement aux monotypes. Histoire Au moment de la création de la jauge en 1907, la série 6 Metre était la plus petite et la plus abordable. Elle devint rapidement la plus répandue et fut retenue pour les Jeux olympiques d’été de 1908. Il fallut toutefois attendre une révision des règles en 1920 pour qu’elle devienne réellement présente dans les compétitions internationales. Les années 1920 et 30 demeurent l’âge d’or des bateaux de la jauge internationale et des 6 Metre en particulier, attirant les meilleurs régatiers et architectes. Les critiques allaient toutefois grandissantes et ils subirent la concurrence des 5 Metre, plus petits et meilleur marché, à partir de 1929. La création de la série des Metre en 1949 fut le coup de grâce et ils furent exclus des jeux olympiques après l’édition 1952 ainsi que de la Gold Cup en 1953. La série ne disparut pas pour autant et les années 1980 virent un regain d’intérêt pour les anciens voiliers. Les quatre premiers 6mJI construits en France dès 1907 sont YVONNE Plan MÉRAN, construit chez De Conninck à Maisons-Laffitte, POUF, MAROTTE et ATOUT pour des membres du CVP Cercle de Voile de Paris. Dits première jauge, ces bateaux portaient un gréement aurique, un spinnaker sur un bout-dehors, c’étaient de petits bateaux avec une LOA de 8,15m, une LWL de 5,5m, un bau de 1,80m, un tirant d’eau de 0,90m, un déplacement de 1680kg dont 850kg de lest. Le plan du 6mJI AIOLLI remporte le concours organisé par la revue Le Yacht. Le 6mJI MAHDRAH était un dériveur. POUF, le premier à régater dès le 31 mars 1907, était un quillard mais disposait d’un lest mobile dans les fonds. La One Ton Cup du CVP est courue en 1907 pour la première fois sur 6mJI . Participants les quatre bateaux français cités plus haut et l’allemand ONKEL ADOLPH Plan W. VON HACHT, vainqueur, l’anglais HINEMOA Plan Linton HOPE, le belge PRINCESS MARIE-JOSé Plan de CATUS, l’espagnol SOGALINDA III Plan ARAUJO, construit chez GUÉDON. Les Nantais Gustave FITAU et les frères THUBÉ remportent la médaille d’or aux Jeux Olympiques de Stockholm sur le 6mJI MAC-MICHE 1912. Lire les exploits de l’équipage ! Virginie HÉRIOT a eu six 6mJI, un premier nommé YARA puis la série des cinq PETITE AILE. Christian X, roi de Danemark, en a eu quatre DAN 1931, DAN II 1935, DANIA 1936 et DAN III en 1939. Et c’est en son honneur qu’à partir de 1929 les régates de Cannes ont été appelées Régates Royales. Pour la première édition, le Roi s’est contenté de barrer le 6mJI DANA appartenant à Madame GRAAE, en compétition avec QUIXIE, SONIA et TANIS K18 les trois bateaux de la famille GUINNESS, avec CAMEO à Monsieur FORD et avec DA HU à Monsieur WETT. L’édition de 1946 a vu la participation de MARQUITA à Monsieur GALLIMARD et celle de EOLE au baron de FENOYLE, vainqueur. Le Prince Olaf de Norvège a fait construire OSLO N17 Johan ANKER 1926, basé en Hollande, NOREG 1927 et la série des NORNA, le premier NORNA pour les Jeux Olympiques d’Amsterdam en 1928 médaille d’or avec Johan ANKER à la barre, NORNA II N43 Johan ANKER 1931 basé à Grimstad, NORNA III N49 Johan ANKER 1933 pourrait être celui qui navigue aujourd’hui sous le nom de EMZIA FIN64, NORNA IV S82 Johna ANKER 1935 navigue en Hollande, NORNA V construit pour les Jeux de 1936 auxquels il ne participera finalement pas. Enfin NORNA VI, plan Johan ANKER 1937 restauré au chantier Walsted en 2001, est rebaptisé LADY DAY DEN58. Pekka BARCK dit que 60% des 6mJI ont été construits entre 1907 et 1929 et que le record de construction a été atteint en 1910. En 1927 le Suédois Sven SALÈN expérimente lors de régates à Gênes le génois, un grand foc bordé très plat qui recouvre une partie de la grand-voile. L’âge d’or de la Classe se situerait entre 1930 et 1940. L’histoire de la Classe est dominée par la compétition la Seawanhaka Cup, la Gold Cup, la One Ton Cup et les Jeux olympiques. La dernière apparition du 6m JI au jeux olympiques de 1952 à Helsinki a vu la victoire de l’Américain WHITON. Le 24 mai 2005 à Copenhague, pour la première fois depuis une quarantaine d’années, un 6mJI neuf en bois moulé est mis à l’eau SUNRAY DEN 64, la réplique de SINKADUS plan Arvid LAURIN 1939. Le chantier William et Jorgen JENSEN, basé à Copenhague, a annoncé pour 2007 la mise à l’eau d’une réplique de NIRVANA, plan Olin STEPHENS 1939, l’original ayant été détruit en 1959. Une équipe projet Pekka BARCK, Henrik ANDERSIN, Tim STREET, Matt COCKBURN, Basil CARMODY … a travaillé à la réalisation du Blue Book, un ouvrage sur le 6mJI qui est sorti pour le Centième Anniversaire de la Classe. Basil CARMODY travaille en continu sur le Registre international des 6mJI. Un débat existe, principalement aux États-Unis, portant sur l’autorisation ou l’interdiction de reproduire à l’identique les bateaux classiques existants les détruits allant de soi. Les tenants du oui sont emmenés par Matt COCKBURN, Président de la NASMA BUZZY III, et les opposants par l’architecte Doug PETERSON BOB KAT II. Le réplica paper a reçu trois avis défavorables contre un. A l’occasion du World 2009 à Newport, de nombreuses restaurations et répliques ont été lancées aux USA dont la réplique du 6mJI CHEROKEE, détruit, plan Stephens & Sparkman 1928, construite par Boothbay Harbor Shipyard’s au Museum of Yachting voir le blog dédié. Une proposition est à l’étude pour les classiques dans le but d’imposer des limitations pour le jeu de voiles. En vue du Mondial 2013, le chantier Robbe & Berking Classics construit trois répliques NIRVANA plan Olin STEPHENS 1939 construit chez Abeking & Rasmussen incendié en 1959 sur le Lac de Constance, APACHE sur plan Bjarne AAS 1939 disparu dans les années 1960 aux USA, sous le nom d’ISELIN, et RISKEN plan Bjarne AAS 1945 disparu depuis longtemps. Sources wikipedia Lesrating Dériveurs et Quillards Voile Légère ont pour objectif de permettre à des bateaux de conceptions différentes, de naviguer ensemble, à l'occasion de régates intersérie. L'objectif visé est d'établir, autant que faire se peut, une forme d'équité via un système de compensation des temps ou des distances de parcours. © Marc Bow © Marc Bow © Luis Fraguas © Luis Fraguas La régate, qui a été créée par la Mirpuri Foundation en 2020 pour sensibiliser et collecter des fonds en faveur de la protection du milieu marin, s’élancera pour une troisième édition au coup de canon du grand voilier Navio Patrulha Oceânico Sine de la Marine Portugaise, le samedi 9 juillet à midi. Avec une liste impressionnante de participants dans cinq classes, dont les célèbres VO65 et VO70, ces deux jours de régate promettent des courses spectaculaires dans la baie de Cascais. Après une forte participation l’année dernière, plus d’une centaine de bateaux représentant plus de dix nations se sont inscrits à l’événement. Les jeunes navigateurs sont à nouveau au centre de l’attention cette année. Les passionnés pourront notamment voir les vainqueurs de la première édition de The Ocean Race Europe en 2021, la Mirpuri Foundation Racing Team, évoluer sur l’eau. Cette équipe, basée à Cascais, concourra à bord de son VO65 Racing for the Planet, skippé par Jack Bouttell, vainqueur de la Volvo Ocean Race. Sept des meilleurs navigateurs offshore du monde, dont les français Thierry Fouchier et Benjamin Schwartz rejoindront Bouttell à bord. Le skipper Jack Bouttell annonçait Nous sommes tous impatients de régater à nouveau à domicile et nous nous entraînerons à Cascais cette semaine. Courir sur un événement qui porte le nom de votre sponsor ajoute un certain niveau de pression, mais nous avons obtenu de bons résultats ici par le passé et je suis impatient de concourir pour ce magnifique trophée. » Le marseillais, Thierry Fouchier, qui occupera le poste de régleur aux côtés du français Benjamin Schwartz, ajoute Étant français, je me suis toujours intéressé à la Mirpuri Foundation Racing Team, qui a obtenu de bons résultats avec Yoann Richomme. J’ai vraiment hâte de rejoindre l’équipe avec Jack Bouttell comme nouveau skipper et je suis impatient de mettre mon expérience au service de l’équipe pendant le Mirpuri Foundation Sailing Trophy. » Organisée par la Mirpuri Foundation et le Clube Naval de Cascais, l’édition 2022 profite du succès des événements précédents et accueillera, avec la ville de Cascais, des marins du monde entier. Paulo Mirpuri, fondateur de la Mirpuri Foundation, déclare Nous nous réjouissons du soutien renouvelé de la municipalité de Cascais et du maire Carlos Carreiras, et nous espérons perpétuer les succès des éditions précédentes. La régate est devenue un moment fort du calendrier annuel de la voile. Je suis maintenant impatient d’accueillir les concurrents et leurs familles venus des quatre coins du monde à Cascais pour notre célébration de la voile. » Carlos Carreiras, maire de Cascais, affirme à son tour Du point de vue de la ville, la réputation de la régate ne cesse de croître, car il s’agit non seulement d’un événement sportif spectaculaire, mais aussi parce que sa composante environnementale correspond bien à notre municipalité. La préservation des mers et des écosystèmes marins est un objectif auquel la ville de Cascais accorde aussi une grande importance. Nous sommes impatients de participer à l’événement de cette année et d’accueillir nos amis navigateurs dans notre belle ville de Cascais. » Les régates se poursuivront le dimanche 10 juillet et se clôtureront par la remise des prix, qui sera le point culminant du week-end. Le prestigieux Mirpuri Foundation Sailing Trophy sera décerné au vainqueur de la ligne d’honneur, détenu par le superyacht de 107 pieds Green Eyes qui l’a remporté en 2021. Parallèlement aux nombreux trophées liés aux courses, le Mirpuri Foundation Ocean Award honorera l’excellence de la communauté scientifique et récompensera le projet le plus innovant ayant un impact positif sur la santé des océans. Eugenia Manzanas Article5 : Régate Une régate à l'aviron de mer est une compétition donnant lieu à l'établissement d'un classement. Elle peut être organisée de différentes manières, en distinguant : - Les Chapitre 10 l'apogée des dériveurs lestés La One Ton Cup de 1977 Bien qu'on ne pensait pas dépasser le nombre d'inscrits de 1976 à l'édition 77, il était plutôt décourageant de voir le peu d'intérêt porté aux épreuves par les meilleurs skippers US et Européens, vu les efforts prodigués par les navigateurs Néo-Zélandais pour participer aux épreuves Européennes et Américaines auparavant. On pensait que des bateaux viendraient des USA et de divers pays d'Europe aussi bien que d'Australie et de Hong Kong. A un moment il se disait en toute confidentialité que Resolute Salmon viendrait défendre son titre. America Jane III était aussi annoncé, qui devait représenter les US à la Southern Cross. On annonça cependant son retrait lorsque son propriétaire tombait malade et ne pouvait ainsi disputer les épreuves. L' Australie envoya 4 bateaux, ce qui apportait la touche internationale à la One Ton Cup mais signifiait aussi que ces épreuves devenaient une compétition entre deux pays. Le manque d'intérêt à la base pour la One Ton Cup causa une grosse déception au RNZYS qui avait relevé des défis en Allemagne, Italie, Grande Bretagne, France et Australie presque depuis 1969. Les intentions de dernière minute des US, de la Grande Bretagne, de la France et du Canada ne pouvaient pas non plus être prises au sérieux. Sur le plan des architectes les défis étaient décevants puisque seul Peterson avec B195 n'était pas Néo-Zélandais. L'autre raison au nombre réduit de concurrents provenait de la fin d'une saison d'été très chargée en Europe, avec l'Admiral's Cup plus la Half Ton Cup et la Southern Cross à venir à Sydney. On peut se demander si les administrateurs qui, à Londres en 1974, ont décidé d'allouer à la fois la One et la Half Ton Cup à la zone Pacifique Sud, ont fait le bon choix. Avec les coûts de transport, les navigateurs de l'hémisphère Nord qui devaient choisir entre Auckland et Sydney optèrent pour la Half à Sydney, mais encore avec un nombre limité d'inscrits. Ils attendaient que la One Ton Cup revienne en Europe en 1978 avant de s'y ré-intéresser. Penser que les Yachtman Néo-Zélandais pourraient être excusés s'ils en faisaient de même et ne participaient à l'avenir qu'aux épreuves proches de leurs bases est une erreur. Le NZ Herald publiait "Les épreuves Internationales ont propulsé la Nouvelle Zélande au sommet des sports nautiques et de l'architecture navale. Cette impulsion au sport et à l'industrie ne doivent pas être perdus." Une partie de l'explication vient peut-être de ce que personne ne pouvait venir à Auckland et battre les Néo-Zélandais dans leurs eaux. Stephenson dira de ce manque d'intérêt international "Il est vrai que les Néo-Zélandais sont tellement bons que tout le monde le sait. L'éloignement est un facteur qui y contribue, mais seulement parce que les meilleurs ne programment pas une One Ton Cup s'ils n'ont pas la moindre chance." "La vraie raison du manque de concurrents içi est la peur d'essayer et de skipper ce type de bateaux dans ce type de mer. C'est comme si nous allions en Grande Bretagne. On y est battu par les brises légères. Ils savent qu'ils seront battus dans les bonnes brises de cette partie du globe." Quoiqu'il en soit, Stephenson considérait que la One Ton Cup serait d'un haut niveau. "Avec une flotte de 40 bateaux vous savez avant de partir qu'une bonne partie des bateaux sera lente. Ils sont seulement 14 dans cette épreuve, mais au moins 10 d'entre eux sont réellement rapides. Il n'y a pas tant d'écart entre leurs performances et ainsi la lutte va être extrêmement serrée entre les compétiteurs." Warwick White, le commodore du RNZYS était aussi de cet avis que la flotte d'Auckland et les bateaux Farr et Peterson d'Australie représentaient ce qu'il y a de mieux dans le monde du yachting actuel. "Si un autre architecte avait pensé qu'il avait des chances de gagner içi, il aurait tout fait pour être représenté içi." Et White ajoutait, "Bien que les inscriptions ne viennent que d'Australie et Nouvelle Zélande, je suis sur que les fans de yachting auront une épreuve de classe mondiale. Je suis convaincu que le vainqueur sera bien le champion du monde de sa classe." Chris Bouzaid était aussi impressionné par le niveau de la flotte. "La flotte est peut être constituée de peu de bateaux mais jamais la compétition n'a été si ouverte." N'importe lequel des 7 bateaux a une bonne chance d'enlever la coupe, et cette situation ne s'est jamais produite depuis que la Nouvelle Zélande est impliquée dans ces épreuves depuis 1968." A titre d'exemple, Bouzaid indiquait Marseille en 1976, qui malgré une flotte de 43 bateaux n'en avait que 5 réellement dans le coup. Questions avant les épreuves Des contrôles avant les régates occasionnèrent des problèmes de mesures et de jauge. Le plus sérieux était celui de Piccolo de John Pickle, où nombre de contradictions voyaient le jour au niveau de son rating, avec entre autre un moteur placé à quelques 61 cm de là où il aurait dû l'être et sa mesure de "I" de travers, ce qui voulait dire qu'il fallait démonter son mat pour effectuer les changements nécessaires. Un autre problème était dû à des différences d'interprétation des mesures d'hélice entre les jaugeurs NZ et Australiens. Pickles exprimait sa frustration envers les rating fixes " Quand on aura ce nouveau certificat ce sera le 13ème de cette année." Le seul point en faveur de Piccolo avec les contrôles était sa bande noire de jauge de sa têtière de GV qui était placée trop bas ! Piccolo n'avait donc pas d'autre possibilité que de réduire sa surface de voilure pour descendre son rating à la limite maxi des One Tonner. Smackwater Jack a aussi eu un problème, mais d'une autre nature. Les jaugeurs trouvaient son cockpit trop grand et il ne satisfaisait donc pas aux mesures de sécurité. Ross, tandis qu'il était perplexe d'apprendre que son bateau jaugé conforme pour les sélections NZ ne l'était plus, fit remplir de mousse les rangements de ce cockpit. Entre les sélections et les épreuves Smackwater Jack retournait à l'atelier pour des changements à sa coque, son gouvernail et sa dérive, pour gagner en vitesse par rapport à ses meilleurs adversaires. Il y eu aussi un grand de participants qui durent équiper les arbres d'hélice et les moteurs de protections comme demandé par les inspecteurs. Un autre travail d'urgence a été l'installation du nouveau mât de Heatwave. Young dit " L'ancien mât est déformé et ovalisé et est devenu moins bon après avoir été malmené." Tandis qu'on s'affairait sur les mesures, la plupart des discussions à Westhaven portaient sur l'attitude du CYCA vis à vis de la stabilité des dériveurs pour les épreuves de la Southern Cross et Sydney Hobart. Avant le début de la One Ton Cup, le CYCA dit avoir conçu une formule draconienne de mesure de couple de redressement des nouveaux dériveurs. Dans l'histoire officielle du CYCA, il a été publié en 2008 que les mises au tapis de bateaux à Bass Strait y était pour beaucoup. Rélisant que toute action sur ce genre de problème de la part de l'ORC ne surviendrait qu'après Sydney Hobart, on demanda au secrétaire du comité de sécurité du CYCA, John Meakin, de produire une formule qui calculerait le bon couple de redressement pour un bateau couché sur l'eau avec le mat parallèle à la surface. Sur la base de ces tests, le comité voile du CYCA calcula une formule passant en revue les différents couples de redressement, pensant l'appliquer aux participants à Sydney Hobart. La déclaration de ce nouveau test arriva juste après l'annonce du Team Néo-Zélandais pour la Southern Cross. Ce test nécessitait la mise à l'horizontale du mât en lui appliquant un poids calculé selon la formule à l'amure de l'étai juste au dessus du point de mesure du "I". Ce test voulait en théorie représenter les forces qui s'appliquent sur un bateau couché après une mise au tapis, dans des vents de 55 nœuds environ. Dick Jones, le commodore du RAYC, qui est aussi le navigateur à bord de The Red Lion envoya un fax pour clarifier cette question " Nous attestons que nous avons sélectionné notre équipe selon les instructions de course. Nous avons rempli les conditions nécessaires pour disputer ces épreuves." Le secrétaire du comité voile du CYCA, Gordon Marshall, confirmait au même moment que les dériveurs seraient exclus s'ils n'étaient pas en conformité avec la formule. Dans le Auckland Star, on pouvait lire " On nous a mis la pression, localement et à l'international, pour amener ces bateaux à naviguer sans problème sur l'océan. On ne dit pas qu'ils ne pourront pas s'abîmer. Mais ce sera aux propriétaires de ces bateaux de prouver le contraire." Marshall a dit que le CYCA devait s'assurer que les dériveurs étaient aptes à subir un Sydney Hobart difficile. "Bass Strait dans une mauvaise météo peut être un endroit horrible. Ce n'est pas comme régater entre des îles, de Auckland à Akarana Bay où ailleurs." A la réponse de savoir si cette formule serait appliquée aux bateaux à quille, il répondit "On a aucune raison de suspecter les quillards. Seulement les bateaux qui n'ont pas de poids dans la quille." L'histoire officielle du CYCA dit qu'il fallait vivement préserver son dossier sur la sécurité durement acquis et qu'on était sensible au fait que les eaux Australiennes auraient mis en avant un test encore plus difficile que dans d'autres régions maritimes. Et de suggérer qu'à ce stade l' IOR avait " n'avait plus la main mise sur la conception des yachts et que sa mission historique d'encourager les bateaux sains et marins lui glissait entre les doigts au fur et à mesure que de nouveaux matériaux et l'ingénuité des architectes montaient en puissance." Le CYCA dénonçait Farr comme le premier suspect "Tout a commencé en Nouvelle Zélande ou un jeune architecte brillant nommé Bruce Farr a dessiné des nouveaux déplacements légers plutôt radicaux qui ont quelque ressemblance avec de gros dériveurs. Il y avait toujours eu des déplacements légers à quille construits autour d'Auckland, à la fois parce que construits avec des petits budgets Kiwi classiques et parce qu'ils étaient rapide au portant ce qui satisfaisait l'enthousiasme de navigateurs locaux." En revenant sur le principe du dériveur utilisé avec Resolute Salmon l'année précédente ou sur le mariage du déplacement léger et du dériveur utilisé avec B195 de Peterson, le CYCA note "L'évolution de ces dessins en Nouvelle Zélande est devenue forte à cause de l'arrivée de jeunes architectes qui venaient du dériveur et voulaient transposer quelques-un des concepts du dériveur à des quillards." Celà amène à une large critique des yachts Néo-Zélandais qui sont d'extrêmes déplacements légers, dont certains ont une dérive, tous des mâts nerveux, et la plupart une construction fragile. L'ORC était mis au courant de la formule proposée par le CYCA et fortement poussé à l'adopter. Le Belge Marcel Leeman, à Auckland en tant que responsable technique et chef jaugeur du comité de la One Ton Cup ainsi que représentant de l'ORC refusa d'être impliqué mais dit " Je pense que le CYCA va trop loin et prend trop de précautions." Cependant Leeman dit avant la One Ton Cup qu'il n'était pas nécessairement heureux des tendances architecturales des dessins de dériveurs lestés. Alors que Swuzzlebubble était chargé sur un cargo pour Sydney, Farr attendait encore pour avoir le détail de la formule. "Si ils rentrent dans un système de calcul du couple de redressement, chaque bateau participant à Sydney Hobart devra être conforme à ce système. S'ils visent seulement les dériveurs, ce qu'ils sont en train de faire pourrait être pris pour une mesure d'élimination des dériveurs. On pourrait faire le rapprochement avec notre choix de trois de ce type de bateaux pour défendre la Cup." Juste avant la coupe , B195 et Hecate étaient couchés sur l'eau à Westhaven pour satisfaire au test du CYCA, avec environ 160 kg de lest attaché à la fixation de l'étai sur le mât. Sans aucune surprise les deux bateaux restaient dans leur position sans l'ombre d'un mouvement, B195 se redressant après qu'on eut enlevé 27 kg. Jim Tattersall qui réalisait le test en tant que jaugeur a dit par après que pour déterminer l'auto-redressement avec la formule du CYCA, "on avait mélangé nombre de données pour trouver une solution." Bien que la formule arrêtée par le CYCA ne soit pas encore arrivée au pays, Tattersall, avec Farr, utilisa une formule validée par 2 sources indépendantes pour être la même que l'officielle. Le mélange des nombres utilisé pour calculer le poids à suspendre au mât a été ensuite confirmée comme ci dessous W = [L x B2 +P - D/2 5P - 110 + 35R] / [1 + Peut-être pas par hasard, la formule comportait un biais envers les gréements fractionnés. Cela se traduisait par une augmentation de la mesure du "P" et par une pénalisation des coques moins profondes D. Des valeurs calculées pour la flotte de la One Ton Cup sortaient des poids identiques à ceux utilisés pour B195 et Hecate et on pouvait penser qu'ils auraient exactement le même effet. Pendant ce temps et sur le plan de la publicité des bateaux, les changements faits sur les noms de baptême de certains yacht Néo-Zélandais n'avaient trompé personne. La plupart des personnes en rapport avec les bateaux était contente que la Cup se déroule, les sponsors avaient quelques retombées de leurs investissements, les équipages et les voiliers allaient naviguer et le RNZYS avait bonne conscience. Les règles étaient acceptées du bout des lèvres et la Nouvelle Zélande avait une très bonne et très rapide équipe pour faire la ton Cup. Stephenson donna un peu d'air frais la veille de la première manche, quand il se prononça en faveur de la publicité et dit qu'il ne réclamerait pas pour les infractions à la règle 26. Il fit observer " Les Néo-Zélandais ont réussi avec le sponsoring là où nous avons échoué. Mais au final ce qu'ils en ressortiront sera une bonne chose pour la course au large. Je crois au sponsoring. Cela économisera les coûts de notre sport. Il faut continuer à mettre la pression sur les législateurs pour qu'il voit comme cela aussi." La Course Sur l'avant de la scène tout était près pour la One Ton Cup 1977. Le nombre d'inscrits est le plus bas depuis des années, mais le manque de présence internationale n'a pas d'influence sur les performances intrinsèques des nouveaux bateaux ou la qualité des 5 manches à venir. La compétition qui démarre le 3 Novembre, pourrait être qualifiée de ventée Ce qui n'est pas surprenant à cette période de l'année, mais a eu toutes les variantes type petits airs dans les grandes courses qui donnent la chance de briller à tout le monde. Les changements de météo ont fait une petite différence qui permettait aux Farr de se battre pour la victoire - si étroitement d'ailleurs qu'on avait l'impression de courses de dériveurs même dans les longues manches - avec B195 qui progressait vite au fur et à mesure des épreuves. La première manche est un triangle olympique de 27 miles qui commence avec une météo humide et une visibilité minimum, mais 15 à 20 noeuds de vent. Alors que les bateaux tiraient au près dans une mer achée, il était clair que tout n'allait pas bien à bord de Smackwater jack. Il n'avançait bientôt plus sur le plan d'eau et abandonnait. La cause en était une hélice qui refusait de se mettre en drapeau. Cela faisait mal de voir Whiting seul dans le cockpit qui ramenait le bateau tandis que le reste de l'équipage était en bas en train d'essayer de réparer. Ross déclara plus tard qu'il n'y avait d'autre solution que d'abandonner. " La trainée de l'hélice nous ralentissait de nds au près. On aurait pu continuer mais on aurait terminé si loin derrière les autres qu'il n'était pas sage de faire ainsi", et d'ajouter " C'était comme naviguer avec une barrière sous le bateau." Permission était accordée au bateau de se mettre au sec pour effectuer la réparation. Après le premier triangle le vent montait au dessus de 30 nds mais à la fin de la course il avait basculé de Nord à Ouest puis Sud Ouest pour tomber, nécessitant un déplacement du parcours pour la dernière marque. Smir-Noff-Agen négociait la molle en se battant et en passant The Red Lion qui avait passé toutes les marques en tête. Brentnall et son équipage devait couvrir trois bateaux à la fois. En visant le milieu de la route et en couvrant Mr Jumpa et Jenny H, The Red Lion avait permis à Smir-Noff-Agen de se déporter à gauche et d'attraper la risée de Sud Ouest. Jenny H suivait troisième avec Mr Jumpa 4ème. Après coup Lidgard affirma que la préparation avait été la clef de la réussite, " On a utilisé le gréement ces jours ci. C'est simplement parce qu' on avait le bateau le mieux gréé pour les petits airs quand la brise est montée." Country Boy était l'outsider du jour avec une sixième place. B195 faisait cinquième, en touchant le vent plus tôt que les dériveurs lestés de Farr. Durant les escarmouches des sélections, l'équipage de B195 avait diagnostiqué un manque de rythme par rapport aux bateaux Néo-Zélandais, et s'aperçurent que leurs voiles étaient plus creuses que celles des Néo-Zélandais. Mais, en dehors de problèmes avec leurs voiles, B195 affichait une horrible estafilade de 1 mètre le long sur sa coque, résultat probable d'un choc avec un objet flottant. Le bateau était sorti de l'eau et une réparation de fortune opérée de nuit pour pouvoir courir le lendemain. A partir de ce moment, B195 était affublé d'un patch proéminent qui le rendait immédiatement reconnaissable. Heat wave créait l'évènement de cette course en perdant son mât, ayant aussi à grutter et installer un nouveau mât à temps pour la prochaine manche. La deuxième manche, un autre triangle olympique se déroulait avec un vent idéal de 12 à 20 nds. Quatre bateaux étaient OCS - Smackwater Jack, Country Boy, Hecate et Piccolo. Seul Smackwater Jack avait les moyens de revenir sur le peloton de tête. The Red Lion faisait à nouveau une bonne performance, gagnant sur Mr Jumpa et Heatwave, ce dernier réalisant l'une de ses meilleures performances depuis qu'il s'était réincarné en dériveur. Heatwave virait la première bouée en tête après avoir été du côté gauche favorable du plan d'eau, mais des problèmes d'accastillage le faisait redescendre au classement. Un des coulisseaux de grand voile a sauté lors d'une prise de ris sur le deuxième bord à la marque sous le vent. "On était en retard", expliquera Young après. " On a mis du temps à affaler le spi et le temps que l'on range tout on était troisième." Toujours pareil, il contrôle à la fois The Red Lion et Mr Jumpa pour sa vitesse en fin de manche mais ne peut combler son retard. Smir-Noff-Agen semble manquer de réussite car il passe 5ème après avoir mené la course, et Smackwater Jack se refait un peu après son départ mais fini à une modeste 6ème place. B195 fait un mauvais score, arrivant 8ème, derrière Rookie. A ce stade de la compétition, il était clair que les dériveurs Farr étaient en pointe, et cela dissipait les craintes de certains aux sélection qui pensaient que les dériveurs ne domineraient pas tant que cela. Leur aisance au près face à B195 était évidente quoique le centre de gravité de B195 ne changea pas lorsque la dérive était remontée et qu'il fut plus léger, ce qui est un avantage au portant. Mais il payait cet état de fait en étant plus sensible au près avec toutes les forces de vent. Après avoir regardé la deuxième manche, Julian Harry Président du NZYF était certain que la décision du CYCA d'établir une formule de stabilité devait être résiliée. " J'espère seulement que les Australiens constateront la chose aussi et reviendront sur le vif du sujet. Après tout , ils autorisé un bateau à naviguer sur la mer de Tasmanie pour faire cette Cup." La troisième manche était une petite course au large de 160 miles qui commençait avec 40 miles dans un vent presque nul, aussi l'avancée vers Channel Island était lente. Mr Jumpa faisait la démonstration de sa vitesse dans les petits airs et passait l'île avec 6 minutes et demie d'avance. Le vent restait faible jusqu'à Flat Rock puis Groper Rock. Sur le bord de Groper Rock Mr Jumpa et Smir-Noff-Agen perdaient du terrain, avec Smackwater Jack qui ramassait la donne devant The Red Lion et B195 qui faisait une belle démonstration. The Red Lion effectuait son bord gagnant au large de la côte Nord dans des vents inconstants et de nuit. "Le plus gros de la flotte passait sous le vent et naviguait trop près de la petite barrière." déclarait Brentnall après coup. The Red Lion et B195 prenaient la passe au vent. Ils étaient encalminés par moment mais se contentaient de la brise. Quand le vent rentrait ce sont The Red Lion et B195 qui la touchaient les premiers, et de Groper Rock à l'arrivée The Red Lion se tenait sous le vent de Smackwater Jack et B195. A ce stade Ross se lamentait de la perte de marge que Smackwater Jack avait perdu depuis les sélections. " Tout ce qu'on a fait depuis les éliminatoires est de mettre au sec le bateau et le rendre plus lent." La vitesse n'était pas le seul problème, Smackwater Jack ayant ayant été déconcentré par des courts circuits près du moteur. Le dernier samedi après midi, une foule s'était massée au vent de la pointe d'Orakei Wharf pour voir un beau finsih et était récompensée. The Red Lion prenant une option sur la coupe coupait la ligne avec 8 minutes 1/2 d'avance et les trois suivants B195, Mr Jumpa et Smackwater Jack passaient tous en moins de 2 minutes. Jenny H finissait 5ème, Smir-Noff-Agen décevait à la 6ème place, tandis qu' Hecate faisait son meilleur résultat finissant 7ème. Lidgard découvrit fortuitement par après que son étai était desserré de 50 mm, ce qui expliquait les performances variables de son bateau depuis la première manche. Il remarquait qu'avec une gréement si relaché la chute de la nouvelle grand voile était devenu plus lâche que celle de l'ancienne. La quatrième manche était un triangle olympique, exécuté dans une brise de 15 à 20 nds et une bonne mer. Smir-Noff-Agen menait d'abord, marquant un net progrès depuis le nouveau réglage de son gréement puis abandonnait rapidement sur rupture d'étai. Une fixation du Rod avait lâché, rendant impossible de continuer et lui interdisant d 'envisager la victoire. Lidgard a envisagé un sabotage et bien que cette hypothèse rendait sceptique un grand nombre de personnes, ses contres performances de débuts d'épreuve avaient surpris. Le retour à une meilleure forme du bateau une fois ces problèmes résolus écartait les suspicions de Lidgard. L'abandon de Smir-Noff-Agen dans la quatrième manche donnait le leadership à Jenny H qui le conserva avec Haslar et son équipage qui obtenaient leur meilleur place de manche pour gagner. Ce résultat était d'autant plus remarquable que le spi ne pu être choqué pendant l'un des bords de reaching. Haslar ordonna de naviguer sans, et le bateau fit l'autre bord avec un équipier à l'intérieur pour réparer la voile. Mr Jumpa finissait mais Hasler marquait tout mouvement jusqu'à la fin, Woodroffe renonçait et virait pour couvrir Heatwave pour assurer sa deuxième place. The Red Lion avait quelques problèmes, explosant un génois au même instant que Smir-Noff-Agen abandonnait. Avec une vitesse supérieure il revenait dans la bagarre et finissait 4ème. Les bateaux Néo-Zélandais avaient écrasé B195 après une brillante démonstration du prétendant Australien, mais B195 ratait un shift important sur le dernier bord. Stephenson était désappointé mais pas abattu. Il débordait de louanges envers les Néo-Zélandais. "Ils ont juste été plus forts que nous, ils règlent leurs voiles mieux que nous, il n'y a rien à faire." Haslar a réfléchit sur les meilleures performances de Jenny H, après qu'il n'obtint aucune vistoire sur 13 départs d'entrainement, et Haslar et son équipage n'arrivaient pas à comprendre pourquoi. "On est sorti seuls de bonne heure et avons navigué seuls un moment. On a tout choqué, détendu le gréement pour le faire respirer? Cela avait l'air pas mal aussi on décidait d'aller au charbon. C'était marche ou crève. Le sujet de la stabilité reste à l'ordre du jour Pendant ce temps, le NYZYF rejettait catégoriquement lune tentaive de l'Australian Yachting Federation AYF qui voulait se laver les mains de la controverse sur les dériveurs. La réaction du NZYF se traduit rapidement par un télex du AYF demandant que la formule du couple de redressement de la Southern Cross soit du domaine du club et que l'AYF ne pouvait donc rien y faire. Harry Julian dit à l'AYF que l'adoption de la formule du CYCA était intervenue si tard qu'on pouvait considérer que c'était une tentative pour écarter la sélection pour la Southern Cross. Le NYZF, maintenant converti aux plans Farr après avoir résolu leur problèmes de stabilité, s'engagea dans un échange intense de télégrammes dont les doubles étaient téléxés en Australie, " Si les 3 dériveurs lestés Farr sont exclus de la sélection Néo-Zélandaise de la Southern Cross, nous nous retirerons, Stop." La réponse du CYCA ne fut pas moins directe. " Nous avons des pressions locales et internationales pour trouver un moyen de valider la navigation de ces bateaux sur l'Océan, Stop." La réponse du NZYF ne faisait rien pour baisser la tension "Le NZYF ne prendra pas en compte la moindre tentative paroissiale de falsification de la part du CYCA, Stop." Julian dit "Cela devient une impasse Mexicaine? Tout ce que l'on fait consiste à envoyer des télégrammes à tords et à travers, sans aller nulle part. Nous continueront sur ce sujet et notre fédération fera pression sur la partie Australienne pour qu'elle intervienne. Les impressions parmi les yachmen étaient aussi intenses avec l'avis que la Southern Cross étant en Nouvelle Zélande, les Australiens auraient à venir pour la prendre. Stephenson annonça que si le CYCA réussissait à faire avancer la nouvelle formule, il réfléchirait sérieusement pour représenter l'Australie une nouvelle fois. Il était clair que la position du CYCA envers les déplacements légers se durcissait avec une mention spéciale qui serait soumise à L'IYRU à sa conférence annuelle de Londres. Elle était soutenue fortement par une autre mention du AYF, traduisant ses réflexions sur l'incapacité des nouveaux bateaux à naviguer correctement. Quoiqu'il en soit, avant la dernière manche de la One Ton Cup, quelques lueurs d'espoir semblaient voir le jour. Julian recevait 2 télex de l'ORC demandant à Leeman un rapport sur tout problème de chavirage et de problèmes structuraux arrivés à des dériverurs lestés durant les épreuves. Le second télex était du secrétaire du NZYF, Martin Foster, présent à Londres pour la conférence annuelle de l'IYRU, disant que l'ORC suggérait une solution intermédiaire et qu'il fallait que la Nouvelle Zélande maintienne ses efforts pour faire changer d'avis le CYCA. La régate du White Horse Trophy La dernière manche de la One Ton Cup était une longue course au large de 325 miles dans le golfe d'Hauraki. La couse menait la flotte au Nord de Poor Knights Islands et faisit virer Sail Rock pas moins de 3 fois. Bien que The Red Lion avait presque la coupe en main, il y avait encore une chance pour les autres bateaux bien placés de lui prendre la place selon les ordres d'arrivée. IL y avait aussi à la clef le White Horse Trophy détenu par Brentnall et Jiminy Cricket à la suite de leur victoire à Marseille dans la dernière régate l'année passée. De la brise au départ laissait envisager une course difficile, et selon unetendance météo à l'aggravation, le comité choisissait un départ dans le port de Waitemata plutôt que dans le chenal de Rangitoto plus agité. Les ennuis commençaient avant le départ. Heatwave cassait une barre de flèche et finissait par franchir la ligne une demi heures après la flotte, s'étant mis à l'abris de Orakei Warf pour réparer. La bastaque babord de B195 se détachait du mat et un équipier était envoyé dans le mat sur le premier bord vers Rangitoto channel. Entre temps la bastaque avait été maitrisée et B195 était derrière la flotte, seul Heatwave derrière lui. Au milieu de l'après midi le vent montait jusqu'à 50 nds de Sud Ouest avec la flotte qui peinait vers Channel Island après avoir arrondi Flat Rock. B195 commençait à remonter et son équipage était ravi de tirer des bords avec Mr Jumpa. A l'approche de Channel Island les risées fortes contre le courant avait formé des creux de 6 mètres et les conditions de navigation étaient très rudes. Smir-Noff-Agen menait à Channel Island, mais les quillards avaient leur heure de gloire avec Wild Turkey second et Result troisième, Rockie quatrième. La course était bien partie pour Jenny H jusqu'à ce que sa grand voile ne se déchira avant Channel Island et il rétrogradait à la 9ème place. Mais le pire était d'avoir ce mauvais temps pour la première nuit. Brusquement à 2 heures du matin le bateau retombait d'une vague monstrueuse et Haslar qualifia cette descente de "l'attente le plus longue qu'il ait connue". Le choc cassait le maître couple provoquant celui de l'avant babord, des haubans sur la cloison principale et causant des dégats au mât, tout cela se traduisant par leur abandon immédiat. Haslar déclara par après " On aurait pu, vu la tournure des évènements, continuer. Mais on ne savait pas combien cela mettrait de temps à se calmer, et une autre vague comme la précédante nous aurait conduit droit dans le radeau de survie. Vous ne gagnez pas des courses dans un radeau de sauvetage." Leur abandon reléguait Jenny H à la 5ème place du général. Jenny H fit route vers Whangerei, fut sorti de l'eau et ramené par la route à Auckland. Il était bientôt rejoint par Hecate qui abandonnait aussi suite à la casse d'un couple avant. Charles Davis a dit que c'était la prudence qui avait conduit cette décision d'abandonner. Un contrôle effectué par après concluait à des dégâts mineurs. Smackwater Jack souffrait lui d'une foule de problèmes d'accastillage après le deuxième bord et commençait à prendre l'eau et à en embarquer de grandes quantités, aussi il décidait d'abandonner. Ross déclara que le bateau n'était tout simplement pas préparé pour ces conditions. Whiting à se retour dit qu'il n'avait jamis rencontré de conditions aussi inconfortables que cette première nuit. "Le bateau n'est pas conçu pour être confortable - on a tous été trempés à bord. Toutes les affaires étaient trempées." Piccolo succombait aussi à ces conditions quand il était poussé par une grosse vague et que son mât flambait en touchant le fond de celle ci. The Red Lion et Smir-Noff-Agen à la fois étaient abîmés, ce que révélait un examen d'après course. Mr Jumpa était quant à lui indemne, tout au moins pour ce qui est de sa couque. Dans les deux cas cela était dû aux contraintes subies par les bateaux au près. Mais Smir-Noff-Agen avait aussi des problèmes au portant. Après avoir viré Channel Island et mis le cap sur Sail Rock, avec un vent encore à 50 nds,l'équipage décidait de hisser le spi. Le bateau partait rapidement au lof. Doug Elder se souvient ' Il y avait discussion entre Don et Jim pour savoir si on envoyait le spi ou pas, Don le voulait et Jim acceptait sous réserve que ce soit le plus petit spi embarqué. Dès qu'il était établi, le bateau devenait surpuissant et payait son tribut au temps. La force du lof et la vitesse d'impact dans l'eau cassait le tangon. J'étais aux écoutes et je dû choquer avec précaution l'écoute sous le vent tandis qu'on mettait un nouveau bras au vent pour assurer le mat. Notre soucis était de savoir le comportement que notre dériveur allait avoir, s'il dépassait les 90 degrés. On passait la suite de ce bord vers Sail Rock en posant une atèle au tangon tandis que nous naviguions avec une grand voile arrisée et un petit foc. Cela a été très rapide bien que difficille à négocier quant au cap car les vagues étaient très grosses, mais le bateau se comportait magnifiquement. Wild Turkey était à ses côtés et surfait à 18 nds sous grand voile et foc seul, et quand ils virent Smir-Noff-Agen établir leur spi et partir au tas, ils pensèrent ne jamais le revoir. A l'aube de la deuxième journée, 9 bateaux avaient abandonné. Julian déclarait "Les coups de la nuit ont éprouvé l'équipe NZ et ses chances de disputer la Southern Cross. Les dériveurs sont encore en course après le coup de vent et on ne nous a pas reporté de problèmes de stabilité. Cela va dans notre sens." A Sail Rock, Smir-Noff-Agen et The Red Lion s'accrochaient en tête, mais B195 n'était qu'à 150 mètres derrière. "Après Channel Island" dit Stephenson, "on s'est propulsé dans la course, marchant à 18 nds et reprenant une paire de miles aux leaders entre l'ile et Sail Rock. Après un bon plein serré jusqu'à Groiper Rock et le bord suivant vers Poor Knights, cela soufflait encore fort et B195 rejoignait la tête. " On a fait un bon cap ", dit Stephenson, " naviguant sans départ au tapis." A un moment B195 a été au moins un mile devant Smir-Noff-Agen et The Red Lion encore collés ensemble, avec Mr Jumpa qui leur mettait la pression. Le vent retombait à 20 nds sur le bord de Channel Island à Sail Rock, les Farr reprenaient l'avantage relèguant B195 en 4ème position, et ce petit groupe de 4 bateaux était bien dégagé de leurs poursuivants. Malgré une grand voile éclatée qu'il avait fallu réparer entre Channel Island et Sail Rock, les faisant passer de la 2ème à la 6èmeplace, The Red Lion taillait sa route en restant au contact des bateaux de tête. A la dernière marque, Channel Island, B195 était second derrière Smir-Noff-Agen, qui avait maintenu sa posuition malgré son enfournement précédant. La victoire était encore jouable si Mr Jumpa gagnait et The Red Lion finissait 4ème. Aussi Brentnall était prêt à laisser Smir-Noff-Agen ou B195 gagner la course et prendre le White Horse trophy. Mais dans une molle autour de The Noises sur le bord du retour, Brentnall était passé avec une risée derrière Smir-Noff-Agen. Woodroffe en profitait pour rompre le marquage et virait vers l'autre côté de Rakino Island mais sans en profiter. B195 tenait bon pour éviter cette molle, mais le vent revenait de la terre et il restait planté. Après 320 miles, Smir-Noff-Agen, Mr Jumpa et The Red Lion se tenaient à quelques secondes au virement de la marque à Auckland Harbour. Les 3 bateaux jouaient au chat et à la souris dans l'obscurité tandis qu'ils glissaient vers la ligne d'arrivée. Ils effectuaient des faux virements, se couvraient très étroitement, leurs mouvements semblables au premier bord d'un triangle olympique,tout cela après 60 heures de course et 24 heures de tempête. Smir-Noff_Agen s'arrangeait pour pousser Mr Jumpa dans un calme sous une pointe à 2 miles de l'arrivée, et ensuite s'envlaient vers la vistoire après 15 minutes de naviguation. C'était un résultat impressionnant après les désillusions de la 4ème manche, cela donnait à Lidgard et à son équipage le White Horse Trophy. The Red Lion s'accrochait à Mr Jumpa mais tombait dans des molles différentes pour prendre la 3ème place, mais c'était plus que suffisant à Brentnall pour enlever la One Ton Cup. Heatwave avit cravaché dur au portant et avait rattrapé son départ désastreux, revenant à la 4ème place, mais dans les petits airs des derniers bords il retombait 5ème. Les évènements qui ont encadré la One Ton Cup ne peuvent minimiser la performance de Brentnall et de son équipage sur The Red Lion qui est un compétiteur de grande classe qui avait fini 5ème des sélections Néo-Zélandaises. Après avoir fini 4ème à la sélection pour la Southern Cup, Brentnall a changé ses voiles Hood pour une nouvelle Grand voile et un génois de chez Ross et Guiniven, ce qui a lui a redonné de la vitesse. Brentnall avait utilisé cette nouvelle grand voile dans une petite course avant la Cup et ayant terminé premier avec, il l'avait mise de côté pour ne la ressortir qu'à la première manche de la One Ton Cup. "Il n'y avait pas de raison pour laisser des gens en savoir plus sur cette voile" a dit Brentnall pendant les épreuves. "Il y a si peu d'écart entre les bateaux qu'il faut bien avoir un atout dans sa manche". Brentnall avait à son bord 4 des équipiers de Jiminy Cricket, y compris le naviguateur Dick Jones auquel on ajouta en dernière minuite Roy Dickson. L'equipage de The Red Lion a su être en forme au bon moment aussi et a été mené avec tenacité tant qu'il y a eu quelque chose à gagner. Les bonnes fortunes de The Red Lion étaient aussi surprenantes que le calamiteux manqe de forme de Smackwater Jack. Le gros Whiting n'avait pu se mesurer aux Farr durant les sélections, se classant 6/4/6 sur les manches qu'il terminait. Les modifications de la forme de la coque et de sa profondeur devaient améliorer la vitesse du bateau, elle eu l'effet contraire. Pire encore, il avait peredu son point fort des petits airs. Ross déclara " Smackwater Jack a de flagrants points faibles et se comporte comme une sorte d'hybride au reaching serré. On a passé 5 semaines à le modifier Après les sélections et on a fini par le rendre plus lent! C'est à la fois une déception et une lesson à tirer." L'abandon de Smackwater Jack à la première et dernière course avec des problèmes d'accastillage semble démontrer qu'il aurait mieux valer ne rien changer et passer ce temps avec l'équipage à régler le bateau, car en fait le bateau avait été assez rapide pour se qualifier. En l'état il attaquait la Cup sans préparation. Elder a évoqué le fait que tandis que les Farr pouvaient être menés à la limite et même aller plus vite au près, Smackwater Jack disposait d'une faible marge de manœuvre au près et n'avait pas la même aisance dans du clapot. Tandis que la One Ton Cup représentait un aboutissement excellent pour Brentnall et son équipage, elle était pour Farr une consécration, avec Mr Jumpa 4/2/3/2/2 et Smir-Noff-Agen 1/5/6/DNF/1 qui paufinaient le podium avec leurs deuxième et troisième places. Une fois encore, les dériveurs lestés avaient démontré leur supériorité sur leurs prédécesseurs, les quillards, dans ces épreuves, en prenant les 6 premières places. Le meilleur quillard, Country Boy, armé par des intérêts Français de Tahiti, terminait 32 points derrière The Red Lion. IL avait circulé un doute insistant pendant les sélections , qui disait que les dériveurs avaient été favorisés pendant les sélections car ils avaient disposés des meilleurs équipages et de nouvelles voiles. Mais ils avaient dominé de la même façon pendant la Cup alos qu'on avait cette fois de nouvelles voiles et de nouveaux équipiers chez les quillards. B195 finissait 4ème au général et Stephenson quittait Auckland convaincu que les "culs vissés sur la chaise" de l'Hémisphère Nord auraient perdu leur temps en venant en Nouvelle Zélande. "Ces bateaux vont vraiment très vite Les Farr et honnêtement je pense que nous avions la meilleure combinaison bateau / équipage pour faire ce résultat." Les enregistrements et les données des triangles olympiques de la One Ton Cup confirmaient combien les dériveurs étaient rapide, avec des moyennes de 6,9 nds et réalisant 70° bord sur bord. Stephenson trouvait cependant que B195 était plus qu'un bateau pour virer des bouées, comme les bateaux de Farr. Il avait attendu en vain des petits airs et du clapot résiduel en rélaisant que son Peterson avait ce plus. Sur une mer plate et une faible brise, il pouvait se battre avec les Farr. Quand la brise commençait à s'établir , tous les Farr le dominaient. Au reaching les Farr avait aussi l'avantage. Dans des déboulés chauds, B195 avait de l'allonge et de l'agilité, avec sa dérive haute et était sain à la barre. Tandis que les dériveurs lestés de Farr raflaient la mise en Nouvelle Zélande, Hecate restait en retrait. C'était un sister ship des dériveurs Néo-Zélandais, mais il avait effectué très peu de compétition avant d'arriver à Sydney pour les sélections et disposait d'un équipage jeune et relativement inexpérimenté. Debriefing La controverse sur la stabilité et la construction des bateaux continuait à sévir dans la classe. Leeman, en tant qu'observateur technique de l'ORC pour les sélections avait vu les dériveurs se comporter dans 50 nds de vent et prendre une correction dans la grande course au large. Mails la stabilité n'était pas réellement le problème, les bateaux avaient couru tout de même dans ce type de mer. Leeman dit " Je ne suis pas contre les dériveurs. Ils ont tous fait face à du gros temps durant les manches. Il y a eu quelques avaries, mais non dues aux dériveurs en soit. Ma seule question maintenant c'est la qualité de construction. Elle est peut-être trop légère et nous avons besoin de règles étalon pour infléchir la tendance." L'avis de Leeman reflètait l'opinion général à la fin des épreuves. Dans une région du monde où courir au large signifie àtout le moins une tempête pendant une manche, la casse d'une structure de la coque était un sujet de préocuppation. Mais les skippers et les équipages faisaient remarquer aux législateurs qu'ils étaient criticables en ce qu'ils poussaient les choses à l'extrême. Les bateaux qui ont été développées sont la conséquence directe d'un règlement qui encourage une forme de stabilité poussant les architectes à maximiser une stabilité réelle avec une stabilité théorique. Cela s'est traduit par du lest interne s'ajoutant au poids de structure et l'exploitation du trou de jauge du dériveur lesté n'avaiient pas réussi à combler depuis l'arrivée de Resolute Salmon. L'opinion de tous les observateurs fut ensuite que la plus contraignante des formule de couple de redressement serait laissée tomber pour se concentrer sur la construction et rien de plus. Même si c'était discutable après que le cabinet Farr ait reconnu la fragilité des couples en elle-même, il fallait prendre des mesures pour rendre les bateaux plus solides. Les épaisseurs des couples avaient été légèrement réduites sur des bateaux postérieurs à Counrtry Boy, et on avait manifestement dépassé la limite déclarera Peter Walker du cabinet Farr. Toutefois, il était sur qu'à l'époque l'ITC regardait déjà comment mettre hors la loi tous les déplacements légers et il ne s'y prenait pas posémment, sans penser à des pénalités. Un accent particulier était mis sur le "chavirage" quand les bateaux partent au tapis sous spinnaker et cela en se référant au spectaculaire départ au lof de Smir-Noff-Agen dans la grande course au large. Alors que ce départ au lof était dû à une équipage qui voulait gagner, cela prouvait aussi sa confiance en leur bateau, et sa capacité à pouvoir envoyer un spi dans ces conditions. Holland, qui était en NZ pour observer les épreuves donna tout de suite son opinion et voyait là une faille non pas de la manoeuvre mais une faille dans la conception des déplacements légers. "Les gars de B195 m'ont dit qu'ils avaient vu l'équipage de Smir-Noff-Agen tenter d'envoyer le spi dans 40 à 50 nds de vent à Channel Island dans la grande course. Les Australiens s'étaient contentés de rigoler. Smir-Noff-Agen perdait tout contrôle, partait au lof et restait couché sur l'eau un long moment. Ces gars sont vraiement de bons marins et auraient du réaliser ce qu'ils étaient en train de faire. S'ils ne peuvent étaler, quel équipage moye pourra le faire ?" Il semblait oublier un point, parce que " l'équipage moyen " n'aurait jamais essayé d'envoyer le spi dans ces conditions et ne l'auraient pas fait, même en première position à Channel Island. La folie de cette manoeuvre ouvrit une brèche dnas laquelle on s'engouffrra par après. On a le sentiment que Lidgard et son équipage aurait fait cet envoi avec n'importe quel type de bateau, bien qu'avec un déplacement lourd le résultat aurait été aussi spectaculaire et avec son équipement lourd les risques de fracture ou de mort auraient été bien supérieurs. Stephenson défendit le concept du dériveur lesté et des formes de carènes qui prévalaient à cette époque des épreuves 1977 en se basant sur ses propres observations à cette même époque. " Les dériveurs ont démontré leur stabilité. Toute personne ayant vu Smir-Noff-Agen partir au lof en essayant de spier dans 50 nds de vent et une grosse mer aprs avoir viré Channel Island pourra l'attester. C'est certain qu'il est resté longtemps couché sur l'eau, mais pas plus longtemps que n'importe lequel des quillards ne l'aurait fait. Quand au reste, ils sont plus secs et passent mieux dans de la mer. Si les concepteurs de la jauge les frappent trop fort, ce sera vraiment dommage." Le rétropédalage du CYCA Arrivé au 14 Novembre et dans la foulée de la One Ton Cup, il semblait bien que le CYCA gardait l'intention et la volonté de présenter leur test de stabilité et de la mettre en application d'içi le 1er Décembre 1977. Cela aurait fait renoncer les nouveaux dériveurs lestés à la Half Ton Cup et à la Southern Cross. Jones caractérisa cette intransigeance permanente du CYCA par le mot "fracture". " Il n'y a pas de problèmes de stabilité avec ces bateaux. Ces gens sont à côté de la plaque. S'ils s'occupaient des nouvelles tendances sur les matériaux de construction, on comprendrait, mais ils se sont fixés sur la stabilité alors que les bateaux avaient prouvé qu'ils étaient sains. La formule ainsi dénommée de la stabilité conçue par le CYCA, qui aurait sabordé les dériveurs lestés, avait été ratifiée sur son principe par l'ORC. Normalement, une règle comportant de tels changements ne pouvait s'imposer avant la saison suivante Avril 1978. Harry julian déclara "Il ne semble pas que cela soit très approprié à notre cas Pour l'ORC. Nous savons qu'il faut de la sécurité en mer, mais pensons que nos embarcations sont sures. Les performances des dériveurs lestés dans les courses au large démontrent cela." Stephenson qui faisait aussi partie du trio de dirigeants de l'AYF dit "Je connais les pzersonnes qui mettent en vant cette formule et ils ne savent pas de quoi ils parlent. Le test pratique de stabilité en situation est le seul qui compte, et les bateaux eux mêmes ont fait leur preuve en la matière. Les jusqu'au-boutistes sont effrayés par le progrès et lui tapent dessus." Stephenson n'était pas le seul à exprimer son embarras pour le compte des yachtmen Australiens. Peter Campbell écrivit dans le daily telegraph " Il semble que Gordon Marshal et les hommes sans visage du CYCA font face au risque de voir la Southern Cross rester en Nouvelle Zélande à nouveau, et qu'ils ont décidé d'éliminer l'équipe de Nouvelle Zélande en leur refusant leur inscription sur le motif qu'ils ne sont pas capables de naviguer en sécurité. La formule magique est, bien sur, non disponible. Imaginez ce qui arriverait si le talentueux et jeune tombait dessus. Et bien il pourrait démontrer que ces déplacements lourds, ces mastodontes sont également pas sûrs. Le CYCA refusa de prendre en compte les avis des expérimentés inspecteurs de sécurité qui trouvaient les dériceurs lestés suffisament stables à l'issue de la grande course de la One Ton Cup durant laquelle aucun yacht n'avait chaviré. Quoiqu'il en soit, à ce moment, un télex arrivait au NZYF de Londres informant que l'ORC choisirait quelles exigences seraient imposées aux dériveurs, et on pensait qu'elles seriant moins dures que la formule de stabilité du CYCA. De plus, en renforçant prétendûment les standards pour la principale course au large de cette saison et en voulant exclure les bateaux Néo-Zélandais et l'équipe Néo-Zélandaise toutes entière, le CYCA était allé tout simplement tropo loin. Réalisant la difficulté posée par la supposée nouvelle règle de stabilité qui aurait disqualifié un type de voilier que l'IOR prenait spécifiquement en compte, l'ORC publia un décret le 18 Novembre sous forme d'un télégramme envoyé au Royal Yacht Squadron pour le départ de la Southern Cross Cup. Le télégramme disait " La règle pour les dériveur entre en vihgueur le 1/1/78 Stop Nous confirmons aussi que pour des raisons administratives le RSYS ne peut appliquer la règle de stabilité pour la Half Ton Cup Stop Aussi aucune nouvelle règle ne sera validée pour la Half Ton Cup en Australie Stop." Avec l'ORC qui avait effectivement négocié un compromis, le CYCA accepta à contre coeur une formule bipartite et accepta l'inscription de l'équipe de Nouvelle Zélande à la Southern Cross et à Sydneu Hobart. Le CYCA considérait que la formule retenue par l'ORC était trop tolérante, et en conséquence exemptait tous les dessins les plus radicaux des test de redressement du CYCA. Cependant, la solution de l'ORC à cette impasse arrivait à temps, mais il est certain que les Australiens répugnaient à faire machine arrière et à reconnaître que leur test était impossible. Les Néo Zélandais, prenant l'introduction de ce test comme un sabordage direct de leurs espoirs de participation, menaçaient d'appliquer un large boycott aux épreuves Australiennes. La tension entre les deux pays était d'autant plus irritante que l'Australie et la Nouvelle Zélande étaient suffisament isolées de la scène internationale pour ne pas pouvoir se permettre de perdre leurs concurrents. Jim Robson-Scott le délégué anti-dopage aidait aux relations entre les deux pays. Robson-Scott décollait d'Australie avec des histoires de coques fragiles et chavirables entendues au meeting de l'ORC, nécessitant une décision avant la Half Ton Cup. Bien qu'il ne fut capable d'aligner aucune preuve tangible d'accidents liés aux nouveaux dériveurs lestés, il suggéra que les bateaux marchaient bien grâce à la compétence de leur équipage. Il prédit que que ce serait tragique de les mettre en tre les mains d'équipages de navigateurs "lambda". Robson-Scott apportait un niveau d'urgence aux discussions de l'ORC et était relayé par Leeman qui envoyait des télex des épreuves de Nouvelle Zélande qui étaient reçus avec impatience. "Un dériveur lesté. "Un dériveur se casse en deux par 25 nds de vent", c'était son premier télex après la première course et revenait qur les détails des autres incidents. Son second telex, reçu un peu avant la fin de la réunion finale, était un peu inverse et il reconnaissait que bien que l'épreuve finale s'était déroulée dans des vents jusqu'à 50 nds et des creux jusqu'à 5 mètres, les dériveurs restaient en tête. Bien qu'on ait observé 5 abandons, il n'y a pas eu d'accidents graves ou de chavirage. Tous les bateaux, quillards ou dériveurs lestés se sont rapidement remis de tout départ au tapis. Arrivé à ce point, les analyses du vécu n'étaient pas vraiment nécessaires. Bien sur, la sur-évaluation du sujet se retrouve bien dans l'histoire officielle du CYCA. "La Half Ton Cup, épreuve de niveau mondial vient d'avoir lieu à Sydney ainsi que la One Ton Cup en Nouvelle Zélande, et il y a eu des rapports d'incidents qui donne des motifs au CYCA de s'inquiéter - Mises au tapis, chavirages et quelques problèmes de structure -" L'ORC avait décidé du sujet avant l'arrivée du deuxième télex de Leeman et cette auguste assemblée était d'accord avec Robson-Scott pour dire qu'il fallait faire quelque chose et rapidement, non seulement au bénéfice de la sécurité mais peut-être plus particulièrement, pour les délégués de l'ORC, protéger les perspectives des déplacements lourds quillards. Tandis que Robson-Scott pensait que la nouvelles mesures de stabilité allait être mises en application pour les épreuves imminentes de la Half Ton Cup, il fut considéré qu'il était impraticable de faire ainsi, beaucoup des bateaux engagés ayant déjà étré envoyés à Sydney avant les changements de règles. De plus, le genre de dériveur ayant de graves défauts de sécurité pour l'ORC avait survécu sans problème à des conditions difficilles durant la One Ton Cup. Tandis que l'ORC délayait les effets surévalués de la formule du CYCA, il introduisait un nouveau test aboutissant à une comparaison de valeurs issues des certificats de jauge édités. Ce test théorique auquel satisfaisaient les bateaux Néo-Zélandais devenait la première partie d'une nouvelle formule de stabilité en deux parties, introduite comme un amendement à l'IOR à partir du 1er Janvier 1978. La décision de l'ORC imposant une nouvelle stabilité de poupe était virtuellement et unanimement admise aussi il n'était pas nécessaire de la voter. On ne sait pas si la formule de l'ORC est arrivée comme un mi-two entre Australie et Nouvelle Zélande, ou si elle serait arrivée de toute façon, mais la situation demandait une action rapide de la part des instances internationales. Mais une question évidentes sortait de la saga du CYCA est-ce que ce débat sur les dériveurs et les déplacements légers des bateaux de course au large avec un centre de gravité "haut placé" aurait eu lieu si les participants à la Southern Cross Cup avaient été des dériveurs lourds du type de Resolute Salmon? Ou bien encore est-ce que les ITC s'adressent plus aux dériveurs qu'aux déplacements légers ? Conséquence de la nouvelle règlementation, les qualités d'auto redressement de tous les dériveurs et déplacements légers de course au large avec un centre de gravité "en hauteur" devaient d'abord passer un test mathématique pour apporter la réponse. Si le bateau ne satisfaisait pas au test, il serait soumis au test pratique basé sur la formule du CYCA. Comme l'a écrit le journaliste Jack Knight, la décision de l'ORC à la réunion de Novembre de finallement changer la mesure du tiran d'eau est une tentative pour restaurer l'équilibre délicat entre les capacités de gagner des carènes des quillards et des dériveurs lestés, elle n'était pas facile à prendre. Une nouvelle formule était attendue qui changerait la mesure de la profondeur de coque en décidant du tirant d'eau retenu pour la jauge et les dériveurs. Chance trouvait que le type le plus lourd de dériveur plus "sain" serait plus pénalisé que le type fond plat léger, par la formule. Quoiqu'il en soit, l'ORC décida d'appliquer les recommandations de l'ITC et de le faire rapidement, avant que d'autres architectes n'exploitent d'autres trous de jauge. olin Stephens, le secrétaire général de l'ITC annonça clairement que les nouvelles règles ne seraient pas les dernières. Non seulement il envisageait la création d'une nouvelle règle structurelle, Bien que n'affectant pas les ratings, suivant en cela la leçon apprise sous le RORC mais il pensait à un retour sur la conception de bateaux lourds gréés en tête. Cela se traduirait par des mesures de fardage du gréement qui seraient incorporées dans le calcul du rating, pour encourager des gréements de bonnes dimensions. Bien que cette idée resta sans développement, comme Knight l'expliqua "Olin Stephens veut dominer, aussi il considère comme indésirables les coques plates et larges Les plats à barbe". Les propositions de Stephens étaient d'établir des ratios largeur/déplacement qui auraient l'effet d'annuler les bonus en rating des largeurs, au dela de certaines valeurs de la profondeur de carène. STephens affirmait "L'ITC considère que la règle de la largeur a démontré sa tendance à sur encourager la largeur et décourager le déplacement.". Il conçu plus tard une formule à ajouter à la jauge pour revenir à des flottes de rating internationales avec des bateaux d'un type qu'il favorisait. Avec une combinaison de valeurs recensées sur les rating établis et le retrait des avantages liés aux mesures sur les dériveurs plus la remarque de Stephens, les grandes lignes de la bataille pour la réunion de l'ORC de Novembre étaient toutes tracées. La Half Ton Cup 1977 Avec la poussière qui s'était à peine déposée sur la formule du CYCA, l'équipe Néo-Zélandaise de la Half Ton Cup arrivait à Sydney. Le CYCA restait contrarié d'avoir eu à revenir en arrière à propos des dériveurs, après avoir pris a l'origine une postion si tranchée, et il rebondit en réalisant des contrôles musclés sur la sécurité. Les bateaux Néo-Zélandais passaient malgré tout les contrôles de sécurité et de jauge et commençaient les épreuves avec un avantage pshychologique, avec Gunboat Rangiriri qui qécrasait la flotte Australienne lors de ses propres sélections à la Half Ton Cup.. Içi, il était venu à bout de Newspaper Taxi, qui avait été acheté par Kerry Dunn d'Australie, mais le champion Whiting n'était pas aussi impressionnant dans les premières courses Australiennes que lorqu'il était mené par Ross et son équipe. Le concurrent Britanique Xavier dessiné par Stephen Jones eu des ennuis moteur, il utilisait un moteur léger Autrichien monté d'habitude sur des motos-neige. Une version Australienne du dériveur Farr, 2269, était skippé pendant les épreuves par John Bertrand. Vu le pedigré de son architecte et de son équipage, le Silver Shamrock III aux rayures de tigre était attendu pour ces régates. C'était lepremier dériveur d'Holland. Il optait pour une approche différente des plus purs bateaux Néo-Zélandais, avec un puit de déive qui traversait le roof au devant du mât. Le bateau est construit d'un composite très élaboré de bois et de carbone, avec un gréement fractionné. Son bau maxi est situé à mi-longueur avec un léger redan et un tableau arrière qui fait la moitié de celui des Farr, se termeinant pas une forme éfilée et remplie. Malgré sa construction ultralégère, il déplaçait le double du poids des Farr, soit quelques 3200 kg. Une partie de ce déplacement est dû à la pose de dernière minute de masses pour amener Silver Shamrock III à son rating exact de Half Ton. Holland déclarait " On a dépassé les délais avec le bateau et Butch Dalrymple-Smith et on a pas pu optimiser le rating. Ainsi on a fini par mettre 625 livres dans le bateau sans que ça puisse gêner ses aptitudes au reaching. ON a fini avec une bande de jauge en haut du mât située sous la poulie de drisse, les jaugeurs étant certains qu'il s'agissait d'une approche nouverlle nouvelle de la jauge de la part des Irlandais, et avec un dixième du rating que l'on ne pouvait utiliser comme il faut. Comme lors de la One Ton Cup qui avait précédé, l'épreuve prouvait encore l'avantage des appendices relevables. Durant les premières dix minutes de la première manche, la flotte des 22 bateaux bateaux se séparait en deux groupes, les 6 dériveurs en division I et les quillards en division II. Avec un écart infime entre les 5 premiers bateaux Gunboat Rangiriri, Swuzzlebubble,2269, Waverider et Silver Shamrock III, c'était les 250 miles au large de la dernière course qui décidait, pour Silver Shamrock III qui devait terminer 2 places devant soit Gunboat Rangiriri soit Waverider pour remporter l'épreuve. C'était du petit temps et Silver Shamrock III faisait tout pour trouver du vent sur les premiers bords, confisquant toute chance de victoire aux autres et se retrouvait sans opposition. La manche se jouait lors de la deuxième nuit en mer. Swuzzlebubble était second avec Gunboat Rangiriri et Waverider derière. Mais Swuzzlebubble et Waverider se tenaient de trop près dans la baie de Botany peu ventée et laissaient la deuxième place qu'il fallait à Gunboat Rangiriri après les 40 derniers miles pour gagner la Cup, terminant presque 3 heures derrière Silver Shamrock III. Un 2269 de retour aux affaires talonnait Gunboat Rangiriri sur le dernier bord de 40 miles, et Walker et son équipage devait défendre chaque fraction de mile jusqu'à New South Wales pour assurer leur deuxième place et arracher le trophée à Silver Shamrock III avec le plus faible écart d'un petit point. Le fait que Silver Shamrock III dématait lors de la petite course au large aura pesé lourd dans la balance sur le résultat final, Holland le reconnut " On a aussi eu de la chance. Shamrock a perdu son mât 400 yards avant la ligne d'arrivée et n'a perdu qu'une place en fait. Si le mât était tombé quelques miles plus haut, cela nous aurait couté plus cher." Un autre démâtage sur Silver Shamrock avant les épreuves montre à quel point les équipages avaient chassé les poids, et pas seulmement dans les coques. Holland pensa que le premier dématage était dû à une corrosion excessive. Dans la manche de la cup ensuite, le système de basculeur reliant les bastaques au mât semble avoir cassé, comme sur B195 lors de la One Ton Cup. Enfin, Silver Shamrock III était extrêmement bien skippé par Cudmore le champion, et semblait être très à son aise dans les petits airs, gagant aussi bien la première manche que la grande course au large finale. Mais c'était Gunboat Rangiriri qui s'avérait être un super bateau dans toutes les conditions, au près comme au portant. Tactiquement et techniquement le bateau était skippé à la perfection par Peter Willcox, Peter Walker Du cabinet Farr, Rob Blackburn, Kim McDell et Geoff Fraser. Bien que Walker soit le barreur en titre, il a partagé sa place avec Blackburn et McDell dans toutes les courses. Selon Walker , sa victoire était vraiment un résultat d'équipe, abattus après la cinquième place de la première manche, requinqués par la victoire dans la manche 2, et se battant jusqu'à la fin de la dernière manche pour emporter le titre, avec des places de 5/1/2/2/2 contre Silver Shamrock III 1/4/3/5/1. La différence de performance entre Gunboat Rangiriri, si l'on regarde bien, et Silver Shamrock III était minime et démontre que l'IOR rend similaire des concept de déplacements différents, même dans des conditions de vents légers qui ont régné , comme l'a dit Farr. Comme Farr l'a commenté " On a deux types de bateaux différents développés pour un même objectif et ils sont similaires en performances dans un grand nombre de conditions. Selon celles-ci les bateaux allaient à la même vitesse. Shamrock était plus rapide au portant dans des vents légers, et nos bateaux étaient plus rapides au portant dans de la brise plus soutenue. Entre ces deux extrêmes, les bateaux étaient si proches qu'ils auraient pu être du même architecte Waverider, qui avait partagé sa barre avec Helmer Pedersen et Chris Bouzaid, s'avérait être le bateau le plus rapide au près comme au portant, mais son résultat de neuvième dans la dernière manche le reléguait à la 4ème place au général, derrière 2269. Cette quatrième place cachait sa performance dans cette épreuve, car lui et Gunboat Rangiriri était aussi bien placés pour la victoire finale avant la fin de la dernière manche. La dernière manche a couté cher à Swuzzelebubble, autre prétendant au titre arrivé malheureusement 7ème ce qui le mettait 5ème au général. Swuzzlebubble a impressionné dans cette épreuve, gagnant la quatrième manche sur une bascule et couvrant Gunboat Rangiriri et Silver Shamrock III, pouvant gagner la Cup jusqu'à la première moitié de la grande course au large. Mais la bulle magique dans la quelle Swuzzlebubble avait été antérieurement avait éclaté alors que Gunboat Rangiriri était au top au fur et à mesure que les épreuves avançaient. Le résultat de Gibb au général pour sa quatrième tentaive au championnat du monde, avec un sistership du vainqueur, était décevant. La Southern Cross de 1977 L'équipe de la Southern Cross composée de 3 Farr dériveurs lestés , les One Tonners Jenny H et Smir-Noff-Agen avec le half Tonner Swuzzlebubble, arrivaient en Australie et espéraient un feu vert du CYCA pour Sydney Hobart. Cette arrivée n'était pas sans problème. Smirt-Noff-Agen avait des soucis avec sa dérive, les deux sections de l'appendice essayant de se désolidariser lors de la traversée de la mer de Tasmanie. Doug Elder rapportait " On a navigué en enfonçant au minimum notre dérive, car on aurait pu la perdre en l'utilisant à fond dans son puit." A l'approche de Sydney, l'équipage faisait trop de Sud Ouest et talonnait à la côte. L'équipage de convoyage devait se battre jusqu'à Port Stephens dans 30 nds de vent. Les bateaux Néo-Zélandais, comme les autres dériveurs, étaient finallement autorisés pour Sydney Hobart à la veille des manches de la Southern Cross, grâce au compromis négocié par l'ORC. Le CYCA refusa cependant l'inscription du Half Tonner Bodega Australien. Le bateau était exclu par le comité de sécurité du CYCA, sans raison apparente, et son propriétaire Alan Nicol présenta un recours au ministre Australien des sports et au premier ministre Australien de l'Ouest. On croyait savoir à ce moment par les média qu'il s'agissait d'un problème de couple de redressement. Le bateau était un plan antérieur à Newspaper Taxi, mais était construit différement de son sistership Néo-Zélandais. La coque était lourde et Nicol avait du réduire son lest pour avoir un rating de Half Tonner. La première course de la Southern Cross se déroulait dans 35 nds de vent et une mer agitée. L'équipe Néo-Zélandaise commençait bien en gagnant avec Jenny H, Smir-Noff-Agen second et Swuzzle Bubble 10ème. Bien que cela démarra fort, l'équipe victorieuse fit même mieux encore et était 1ère au classement général, avec Nitro Un two tonner Farr 4ème, Superstar 5ème et B195 9ème. Jenny H terminait 6 minutes derrière le two Tonner champion du monde Pinta. Haslar exultait de la peformance de Jenny H. " On a eu 35 nds sur le bord de près et marcahit comme une fusée. Maintenant ce que l'on veut est du débridé dans les mêmes conditions et on les écrasera tous." Il ajouta " C'était un temps pour les gros rating, mais seul Pinta a pu s'accrocher." Plus en arrière de la flotte, Swuzzlebubble trainait avec Silver Shamrock III après le premier bord, mais se révèlait dans les bords suivants et surclassait Silver Shamrock III au près et au portant, le battant de 10 minutes à l'arrivée. Jenny H et Smir-Noff-Agen couraient tous deux avec 8 équipiers à bord, un peu plus que les 7 pour la One Ton Cup. Haslar et Lidgard à la fois considérait que du poids supplémentaire procurait plus de puissance dans ce chaudon qu'est Sydney Hobart. Dans la deuxième courses, une course moyenne de 180 miles, Jenny H terminait 13ème toutes classes, à moins d'un mile derrière les Two tonners de l'Angleterre, de la Communauté Economique Européenne et de l'Australie. En temps compensé il les battait avec une marge de quelques 45 minutes. Haslar à nouveau était enthousiste sur la rapidité des bateaux, "Le potentiel de vitesse des dériveurs lestés a été plus marqué dans la nuit quand on a accroché des two Tonners plus gros, des Admiralers, et qu'on les a passés. Smir-Noff-Agen finissait juste une minute derrière, procurant à Lidgard et à son équipage, la deuxième place. Smir-Noff-Agen avait été devant Jenny H sur presque tout le parcours, jusqu'à ce que des conditions compliquées inverse les positions. Lidgard tentait sa dernière chance, "On a mis 7 minutes à la dernière marque à Bird Island. On les a gardé derrière tout le long de la côte jusuq'à une paire de miles de Sydney Heads. Et puis le vent tournait au Sud Est, Jenny H partait au large. On a discuté à bord et décidé de ne pas les suivre, cela a été notre faute. Swuzzlebubble arrivait juste 3 heures plus tard pour réaliser un formuidable 1/2/4 pour la Novelle dernier tournat de Flinders Island, Swuzzlebubble avait la course en mains, mais il s'encalminait au retour vers le port de Sydney. B195 était le seul bateau à s'immiscer dans les lignes de la nouvelle Zélande, finissant 3ème. Stephenson et son équipage était réprimendés au tableau d'affichage pour avoir enfreint les règles d'utiolisation de la radio, mais leur 3ème place était maintenue. Stephenson se défendit en parlant de panne radio, ce qui n'impressionnait pas le comité de course dont le propriétaire détenait une grosse boite d'electronique. L'action du CYCA était une mise en garde aux 137 autres bateaux engagés dans Sydney Hobart, et cela signifait des problèmes à venir pour Lidgard qui avait ses propres fréquences radio sur Smir-Noff-Agen. Smir-Noff-Agen revenait de son désappointement de la 2ème course pour gagner la 3ème, un autre parcours de 40 miles, après avoir subit une réclamation de Xavier pour un problème sur la ligne de départ. Swuzzlebubble était second et Jenny H 4ème. L'avantage de vitesse des dériveurs lestés avait été décisif dans leur Half et One Ton Cup, mais c'est avec cette confrontation avec une flotte variée que cette supériorité sautait à la face de tous. Haslar commenta " Au près, le profil de la dérive est plus efficace et rentable que celui d'une quille-c'est notable quand vous êtes alignés en flotte comme à Sydney Hobart, et que vous pointez plus haut que les quillards conventionnels, y compris les two tonners". David May, le capitaine de l'équipe Anglaise ajoutait "On savait qu'ils étaient bons. Mais ils sont très rapides. On a fait de plus gros bateaux, mais on ne peut les larguer." Haslar avait noté les changements sur les voiles de Jenny H tout au long des épreuves et ils s'avéraient payant pour Smir-Noff-Agen qui gagnait en performance au près. A l'origine il avait des voiles Hood Auckland faite pour des bateaux à déplacement. Elles étaient trop creuses et le bateau n'avançait plus au delà de 12 nds de vent. Bien que ces voiles soient neuves, il fallait recouper la GV, le génois et 2 focs pour les rendre plus plats et tendus sur la chute. Haslar remarquait aussi que les voiles et le réglage du mât avaient été améliorés Jusqu'à un mètre de quête et Jenny H portait haute sa grand voile et son génois lourd dans 25 nds de brise, laissant le charriot de GV en bas avec peu ou pas de barre. Il se souvient que les bateaux prenaient 1heure et 5 minutes pour faire un bord de 5 miles, ce qui donnait une vitesse moyenne de 7 nds et un VMG de presque 5 nds. Les résulats d Jenny H et de son équipe lui donnaient une avance de 130 points sur l'équipe Anglaise dans SYdney Hobart. C'était peut-être sans surprise, sauf peut-être pour le Perterson B195, car les plans de Farr étaient les euls nouveaux bateaux à régater. Ils étaient trop forts pour les Admiralers 1977 type Ragamufifin, Pinta et Nyamba. Plus précisément, dans les manches avec plus de brise que dans la Half Ton Cup , Silver Shamrock III n'était plus une cible pour le léger Swuzzlebubble. Les autres plans Holland, Winsome 77 et Knockout ainsi que le Half Tonner Jones Xaviera étaient surclassés par les dériveurs Farr la plupart du plus soiuvent Jenny H et Smir_Noff_Agen naviguaient bord à bord avec les two tonners Holland. La compétition intense qui était menée par l'équipe Victorienne s'évanouissait après la 3èmè course, quand le captitaine de l'équipe déclarait au comité de course qu'ils pensaient que Nitro avait une hélice repliable et non fixe comme siur son rating. C'était confirmé en sortant le bateau de l'eau, et son skipper abandonnait rapidement les 3 premières courses. Jenny H a été vendu à l'Américain John Kilroy Fils de Jim Kilroy, de la lignéedes Kialoa quelques heures avant le départ de Sydney Hobart. Mr Jumpa était aussi vendu aux USA, et Kilroy prévoyait de courir sur la côte ouest des US avant de retrouver Mr Jumpa pour l'US Ton Cup nationale. Malgré un avantage de points conséquent, un Sydney Hobart plus "normal" aurait vu l'vantage de la Nouvelle Zélande s'accroître largement. Tel qu'il se déroulait, le leadershipo de l'équipe après la troisème course devenait une chasse aux bateaux. Les conditions météos difficilles n'étaient pas évidentes pour la flotte de 130 bateaux inscrits qui quittait Sydney et virait les Sydney Heads avant d'envoyer le spi pour une descente au Sud rapide. Sur les premiers bords Smir-Noff-Agen et Jenny H étaient troisièmes et quatrième au général et avaient grillé B195. La flotte descendait sous spi dans 18 nds de vent du Nord quand le choc avec le premier front arriva la deuxième après midi de course. En quelques minutes les bateaux devaient se mettre sous voilure de tempête. Puis la mer grossissait et cela rendait encore plus problèmatique la force du vent. Smir-Noff-Agen et Swuzzlebubble étaient les 2 des 5 dériveurs à abandonner. Smir-Noff-Agen le faisait le premier, dans la deuxième nuit de course, après le premier coup de tabac de Sud, il était balayé par un vent de 50 à 60 nds parmi la flotte. Don Lidgard était sévèrement déshydraté et se blessait à la cheville. L'équipage menait alors le bateau pour minimiser les problèmes cités plus haut, naviguant sur le haut de la houle puis la descendant ensuite. Mais le bateau rencontrait une mer difficille avec des déferlantes, et Smir-Noff-Agen sancissait derrière une vague. Le choc brisait les jonctions du couple avant. Doug Elder se souvient " Tandis qu'on navigait en travers de la houle, une déferlante particulière poussait le bateau à la renverse puis le retournait. Le couple avant était maintenu à la coque par une équerre au niveau du pont, et la force de la chute du bateau cassait deux de ces pièces. Tandis que les cale-pieds s'arrachaient du roof, on mettait deux équipiers en bas pour "renforcer" la coque. A partir de ce moment là on affalait les voiles et conservait juste le tourmentin, naviguant à proximité de la côte prudemment, malgré avoir subit un deuxième demi-knock down. On rejoignait le tiers de la flotte ramassée à Bermagui." Farr a fait remarquer après coup que Smir-Noff-Agen n'avait pas eu l'adjonction structurelle sur la partie avant qui avait été réalisée sur Jenny H, car il n'avait pas eu à subir les même problèmes dans la One Ton Cup. Selon Elder il vait tout de même des renforts aux barreaux et autour du fond de la coque. Swuzzlebubble avait volé pendant les premières 24 heures dans les allures portantes. Quand le rpemier front l'atteignait il était encore en vue de Jenny H et était devant la plupart des One Tonners de la flotte. Il avait déjà couvert 220 miles et s'était battu pendant les premières 18 heures de la tempête. Mais la mer était trop grosse et courte, aussi Gibbs se résigna à abandonner à environb 2h30 du matin la deuxième nuit. Gibbs déclara " J'ai connu plus gros temps à la Half Ton Cup en 1974 à Marachelle. Mais rien d'aussi sauvage. Les vagues avaient plus de 30 pieds de haut, si pentues et déferlantes à leur sommet, par séries de trois. Vous pouvez négocier la première, passer la seconde, mais la troisième est si proche de votre bateau qu'il n'a pas le temps de récupérer. Si on avait été pris par un de ces monstres, on ne serait plus là." Grâce à l'usage généralisé du Kevlar sur Swuzzlebubble, il n'a pas été abîmé et n'a même pas déchiré une seule voile. Mais la mer était trop grosse et trop menaçante, même les équipages des maxis faisaient attention à chaque vague. Le navigateur Dick Jones a été projetté deux fois par dessus bord et sauvé par son harnais de sécurité. Gibbs le skipper dira "On a discuté calmement des évènements après cela. Il n'y a pas eu de panique ni de drame. On a conclu qu'on risquait la vie de l'équipage et celle du bateau si on continuait. Je m'alignait sur cette décision, bien que n'aimant pas faire demi-tour. Il y avait des 30 pieds qui arrivaient les uns derrière les autres. Le premier ne semblait pas avoir de problème, ni le second. Mais le troisième arrivait si vite que je me demande bien ce qui serait arrivé si l'étrave avait enfourné... c'est comme régater sur une plage de surf." Quoiqu'il en soit c'était une décision dure à prendre, le bateau marchait si bien. Mais notre décision était confortée par le fait que cela deviendrait sans doute plus dur encore à Bass Strait, avec un autre front de Sud Ouest. Pour Gibbs et ses équipiers c'était une décision de simple prudence pour des marins et ni Gibbs ni Jones ne faisient allusion au fait qu'il s'agissait de 5 des 6 dériveurs qui y étaient forcés. "En ces circonstances, je dirais qu'ils étaient menés par de bons équipages qui ont décidé d'abandonner à causes des conditions et du contexte. Dans notre cas cela aurait été de la pure folie de prendre une autre décision vu ce qu'on avait sous les pieds, que ce soit un dériveur ou un quillard." Pendant ce temps, et oubliant les indiscrétions sur son rating, le Nitro de Farr restait seul à courir pour l'équipe Victorienne, après l'abandon de Superstar et B195. Aussi le but de Jenny H était juste de terminer, étant donné le cumul des points de l'équipe Néo-Zélandaise après les trois premières manches. Jenny H arrivait à Hobart 5ème toutes classes, et premier en division B. Mais ça n'était qu'un arrêt au stand. Jenny H avait réduit sous voilure de tempête pendant le coup de vent, l'équipage essayant de garder le bateau à plat et de limiter la vitesse en soulageant sur les vagues. Après la tempête, le vent était monté à 30 nds et l'équipage pouvait hisser la GV et le foc pour naviguer comme avant. Dès qu'ils avaient établi la GV, le bateau faisait un bond et s'écrasait entre deux vagues, tapant son couple avant, tout juste réparé des épreuves de la One Ton Cup. La GV était affalée et l'équipage la gardait capelée jusqu'à ce que la mer s'assagisse. Jenny H regagnait Constitution Dock ave une paire de fissures dans les couples avant et ses guides sans appuis dans la tête du puit de dérive. Malgré ces problèmes et la perte de temps dûe à l'attente pour pouvoir abattre, cela suffisait à l'équipe de Nouvelle Zélande pour gagner la coupe avec 507 points, 31 points devant l'équipe de Nouvelle Gale du Sud. Cette marge de victoire aurait pu être considérablement réduite si cette deuxième équipe avait classé tous ses bateaux, mais toutes les équipes avaient au moins un abandon sur cette manche. Silver Shamrock III était du lot, il avait eu de petits problèmes de structure. Cudmore déclara en arrivant au port de pêche de Ulladula, "On ne veut pas risquer notre vie, la tempête a été sévère et on a voulu prendre aucun risque." Le Half Tonner Anglais Xaviera eu aussi un gros problème, ayant fendu en deux sa coque sur babord, moteur et radio hors d'usage, en rejoignant le port de Sydney et se remplissant d'eau dangereusement après avoir changé de bord. Au final , seul un Half Tonner finissait la course, Vanessa de la Papouasie Nouvelle Guinée. L'équipe de Nouvelle Zélande du Sud avait été dominée durant les épreuves, mais, avec l'équipe d'Australie de l'Ouest, elles étaient les seules à mener leurs trois bateuax à l'arrivée à Hobart. Cet exploit les créditait d'une valable 6ème place toutes classes. La victoire de la Nouvelle Zélande suivait celles des victoires de 71 et 75 dans ces épreuves, concrétisant le potentiel des bateaux de Farr. Mais avec l'abandon de 5 dériveurs sur 6, les Néo Zélandais dominateurs ne purent rien faire contre les législateurs et leur appréhension des déplacements légers. Fin du Chapitre 10 ! Luc Samia et Rudy ont obtenu sept notes en français c Gustave Caillebotte naît à Paris en 1848. Il est ingénieur naval et possède une fortune qui lui vient de l’héritage de son père, reçue en 1873 et qui lui permet de faire uniquement de la peinture sans pourtant aimer le style académique. Élève de Léon Bonnat à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, il est rallié au mouvement impressionniste. Il est notamment lié à Monet et Renoir, deux peintres qui symbolisent particulièrement le courant impressionniste et achète leurs œuvres et les représentations moins vendables, comme Le moulin de la galette et La balançoire, de Renoir. Il apporte ainsi une aide financière à ce courant artistique. Caillebotte est plutôt un peintre naturaliste, influencé par le réalisme ; il aime peindre le thème de la vie moderne, ce qui rappelle parfois Degas et Renoir. Renoir est un exécuteur testamentaire et a des difficultés à faire accepter son lègue. Caillebotte meurt le 21 février 1894 à Gennevilliers. Il faudra trois ans de négociation pour que, à Luxembourg, l’Etat accepte seulement une partie de la collection qui comporte trois œuvres de Manet, treize de Monet, huit de Renoir, treize de Pissarro, sept de Degas, huit de Sisley, cinq de Cézanne et un de Caillebotte. En plus de sa passion pour la peinture, Caillebotte consacre également son temps à ses bateaux, avec lesquels il fait de la VAISSE, Pierre, Deux façons d’écrire l’histoire. Le Legs Caillebotte, Editions Ophrys, 2014 DISTEL, Anne, VARNEDOE, Kirk, Gustave Caillebotte – 1848 1894, M Editeur, 2014 Image Cest l’univers des coureurs participant aux régates de grade 5A, 5B ou 5C dans leurs clubs ou dans leurs régions. Au niveau national, ils participent à la Coupe de France, à l’Open de France ou à la Coupe de France des Clubs en course par Équipes Minimes sur Flotte Collective. Ces compétitions sont de grade 4, il n’y a pas de titre mais une valorisation par remise de coupes Page 1 lmo Auteur du sujet Hors Ligne Messages 1152 Remerciements reçus 401 Bonjour Aux petits bouchons 2016 j'ai eu des soucis avec mon écoute de foc, laquelle a été sérieusement endommagée ainsi que l'oeillet en raison du vent soutenu lors des régates. D'un seul brin, elle passait simplement dans l'oeillet avec un noeud de blocage de chaque côté, ce qui n'est pas conseillé. Je dois revoir le point d'attache entre mon écoute de foc et l'oeillet de foc que je viens de faire changer pour 3 euros. Alexandre notre cher président m'avait brièvement montré son truc pour attacher l'écoute à l'oeillet avec une garcette, mais je ne me rappelle plus du type de noeud utilisé. Serait il possible d'avoir le détail du noeud de raccordement écoute/garcetteoeillet à faire et/ou une photo pour que ce soit léger et fiable ? ainsi que le diamètre de l'écoute et de la garcette dyna? Merci lmo Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Dernière édition par Thibault. Alexandre Hors Ligne Messages 5539 Remerciements reçus 976 Si ça peut rendre service Du 6 pour l'écoute et 3 pour la garcette. Pièces jointes Les utilisateurs suivant ont remercié lmo Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. franck404 Hors Ligne Messages 1136 Remerciements reçus 311 Je crois que la question ne portait pas sur ta dernière opération mais sur l'écoute de foc Les utilisateurs suivant ont remercié lmo Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. lmo Auteur du sujet Hors Ligne Messages 1152 Remerciements reçus 401 franck comment utilises-tu cette "boule" yvon ...1 photo? Merci alexandre, en effet, c'est d'une simplicité à couper au couteau ! Note je n'aurais pas dû utiliser le terme capelage dans l'intitulé du sujet, car ce terme désigne l'acrochage au mât désolé, amarrage aurait suffit/correction possible ? Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Dernière édition par lmo. lmo Auteur du sujet Hors Ligne Messages 1152 Remerciements reçus 401 lmo écrit franck ...alors, reprenons, comment utilises-tu cette "boule" Yvon ...1 photo? Merci Alexandre, en effet, c'est d'une simplicité à couper au couteau ! Note je n'aurais pas dû utiliser le terme capelage dans l'intitulé du sujet, car ce terme désigne l'accrochage au mât désolé, amarrage aurait suffit/correction possible ? Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. philippe Hors Ligne Messages 513 Remerciements reçus 180 Pour moi c'est ça... Pièces jointes Les utilisateurs suivant ont remercié YVON, lmo Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Alexandre Hors Ligne Messages 5539 Remerciements reçus 976 Comme je veux éviter de faire une bétise sur le forum, je vais laisser un webmaster rectifier..... Sauf erreur de ma part, le bon terme serait "Frapper une écoute de foc". Au passage, il existe d'autres approches, notamment si on souhaite avoir l'écoute en continu. Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Thibault Hors Ligne Messages 3292 Remerciements reçus 777 Pour faire une écoute en continu Ecoute de foc en dyneema gainé bout de diamètre 6, 7 ou 8 mm, au choix. Plus c'est gros plus c'est lourd mais plus c'est confort pour les mains de l'équipier. Sur mon bateau j'ai une écoute de foc en 6 mm. Faire une épissure à chaque extrémité de l'écoute de foc Pour attacher l'écoute sur le foc il faut fabriquer une manille textile Utiliser du dynnema tressé de diamètre 3 ou 4 mm pour la manille textile. Avantage - Ecoute en continu moins de noeuds dans le fond du bateau - On peut faire des marques de couleur sur les écoutes de foc pour repérer comment est bordé le foc. D'une nav à l'autre les marques sont au même endroits puisque l'écote est toujours attachée au foc de la même manière, avec la même manille textile A vos aiguilles ! Les utilisateurs suivant ont remercié YVON Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Dernière édition par Thibault. nicolas CORBIERE Hors Ligne Messages 1486 Remerciements reçus 80 Le nec plus ultra, c'est une pomme de touline à la place de la boule ! Les utilisateurs suivant ont remercié YVON, lucovitch Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. lucovitch Hors Ligne Messages 417 Remerciements reçus 170 Tu veux un taille-crayon ? Les utilisateurs suivant ont remercié YVON Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Patrick Hors Ligne Messages 612 Remerciements reçus 107 Bonjour à tous, J'ai lu les différents échanges à propos de l'écoute de foc. J'ai également sur les conseils de M. President le même système écoute + garcette avec le même noeud entre l'écoute et la garcette que sur l'image d'Alexandre et noeud de chaise / garcette et oeillet du foc. En revanche, est ce qu'il serait intéressant mieux ? utile ? nécessaire ? plus simple de remplacer mon système actuel drisse/manille/oeillets sur les drisses de GV et de foc par une boule pour frapper les drisses de GV et du foc ? En espérant que ma question apparaisse claire, merci par avance pour vos avis/conseils éclairés. Belle journée à tous et bon vent ! Patrick Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. flash Merci pour ce sujet, j'ai remplacé l'ancienne écoute de foc de mon vaurien directement frappée sur le foc par une boucle et complètement usée... par le système écoute + garcette + pomme de touline, ça devrait le faire Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation. Page 1 Temps de génération de la page secondes Desbateaux à voile de luxe participent à une régate de voiliers, tableaux de myloview. La meilleure des qualités images, , papiers peints, posters, stickers. Vous voulez décorer votre
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Oui pour participer à des régates à un niveau professionnel, il faut non seulement des compétences sérieuses et une excellente préparation, mais aussi beaucoup d'argent.

Southampton, Royaume-Uni B&G, leader mondial du secteur des instruments de navigation pour la voile, a le plaisir d'annoncer son soutien au projet Zer°Emission. L'objectif de ce projet dirigé par Samuli Leisti est de sensibiliser le public à la pollution marine en participant à des événements majeurs de courses de voiliers en 2019 et 2020 avec un bateau de course moderne de classe TP52. En 2019, l'équipe participera aux plus grandes régates en haute mer qui auront lieu dans la mer Baltique. En 2020, elle prendra part à une course en Méditerranée pour terminer l'année par la course légendaire Hobart de Sydney. Nous sommes ravis de mener ce projet ensemble. Ce fut un travail acharné, mais maintenant nous sommes prêts à recevoir les résultats de course et à entamer la course contre la pollution marine, » déclare le chef de projet Samuli Leisti. En raison des exigences du programme de course qui attend le bateau, l'équipe du projet Zer°Emission sait clairement que les composants électroniques à bord vont jouer un rôle important dans leur périple. Il est donc primordial de trouver le bon partenaire. Ils ont rencontré l'équipe de B&G pour obtenir des conseils sur leurs besoins afin que B&G puisse leur fournir un système complet et fiable à 100 %. La vaste gamme de produits spécifiques à la navigation à voile offerte par B&G a impressionné l'équipe du projet et les a convaincus que B&G pourrait fournir le système adapté à leur projet. Un système qui serait non seulement fiable, mais aussi capable de leur donner confiance pour réussir chacune des courses. Leur bateau de course de classe TP52 est équipé d'un système B&G d'instruments et de pilotage automatique H5000, associant des fonctionnalités de navigation à voile uniques et une technologie éprouvée. Le grand écran de course H5000 en verre scellé offre un affichage net et personnalisé qui vous permet de consulter les données essentielles de la course en un coup d'œil. La correction de mouvement 3D utilise les données de différents capteurs comme les gyros haute performance pour corriger le vent induit, offrant la meilleure solution de vent disponible dans un système d'instrument. Il est essentiel de disposer de données correctes pour réussir les courses. Obtenir des relevés appropriés sur le vent et la météo se révèle très intéressant. Les changements climatiques font partie des problèmes planétaires que les skippers doivent affronter. Les eaux sont aussi affectées que l'air. Nous allons commencer à surveiller les changements du vent et de la météo à l'aide de nos appareils B&G », explique Samuli Leisti. B&G est extrêmement fier de soutenir l'équipe Zer°Emission et est en phase avec les objectifs et les valeurs du projet. B&G s'engage à travailler de manière socialement responsable, en protégeant l'environnement et en assurant un fonctionnement durable. Nous nous efforçons d'utiliser notre modèle d'entreprise comme une plate-forme qui pourra en inspirer d'autres, et de mettre en œuvre des actions qui ont un impact positif sur l'environnement », a déclaré Alan Davis, vice-président exécutif Plaisance Marine chez B&G. L'équipe de Zer°Emission a déjà participé à deux courses, dont la course Espoo-Suursaari sur 155 miles, où elle est arrivée deuxième à seulement 500 m de la ligne d'arrivée, derrière un trimaran SeaCart 30. L'équipe a également assisté à la régate de la Baltic Offshore Week, où elle a participé à plusieurs courses et a organisé un nettoyage de l'océan pour débarrasser la marina des déchets flottants. Nous avons hâte de suivre l'équipe dans la suite de leurs courses en quête de mers plus propres. Pour plus d'informations sur le système H5000 et la gamme complète B&G, rendez-vous sur le site Web
Ancienbateau à voile au cours dune régate à la panerai classique tableaux de myloview. La meilleure des qualités papiers peints, , images, posters, stickers. Vous voulez décorer votre maison? Seulement avec myloview
à propos des régates … Les multiples facettes de la régate divertissement ou compétition ?! La régate est autant un sport qu’un loisir, c’est un jeu d’adresse qui fait appel à des compétences techniques. C’est aussi un excellent moyen de progresser car elle implique de trouver une stratégie en fonction des autres concurrents. La maîtrise de son bateau, des notions de météo, des courants de la mer ou les particularités du plan d’eau sont des conditions nécessaires pour gagner. En flotte ou à armes égales sous forme de duel en Match Race un bateau contre un autre, les régatiers disent souvent que la victoire appartient à l’équipage qui fait le moins d’erreurs possibles ! Si la Coupe Camille reste l’évènement phare des Clubs du CDV93, d’autres rendez-vous incontournables de la voile Tour de Belle-Ile en Mer, Tour du Finistère, Spi Ouest France, la Coupe Ile de France à la mer, l’Armen Race, le Tour de l’Ile de Groix … devraient aussi séduire les compétiteurs de Seine-Saint-Denis. De nouveaux projets à ajouter au palmarès du CDV93 en 2021 avec les régates VRC Voile Radio Commandée et la préparation du Club 2DNVoile dont l’objectif est de participer à la Mini Transat 2023. La RÉGATE INTERCLUBS LA Coupe Camille La Coupe Camille est organisée par PromoVoile93 depuis 1983. Cette épreuve de rallye-régates, est désormais reprise par le CDV93 et ses clubs et c’est 2DNVoile qui aura le plaisir d’organiser la 38ème édition en 2021. L’objet principal est une rencontre amicale de bateaux et d’équipages dans des disciplines diverses parcours banane, parcours côtiers, mais également des épreuves physiques et intellectuelles originales. Ces épreuves se déroulent dans la plus grande convivialité et le meilleur esprit entre les participants même si la Coupe Camille reste toujours Créatrice de Mauvais Perdants » ! Le tout est couronné par une remise des prix. Depuis presque 40 ans, elle s’est affirmée comme un moment très important dans le calendrier de la voile en Seine-Saint-Denis. Femme à la barre LES RÉGATES vOILE lÉGÈRE DU cdv93 Les Régates du CDV93 sont soutenues par ses Clubs. Tour à tour, chaque Club choisi d’organiser une épreuve à laquelle sont conviés tous les adhérents, débutants ou confirmés. Les compétiteurs des Clubs hors département sont également les bienvenus ! Cliquez sur toutes les régates pour accéder à toutes les compétitions ! LES RÉGATES VIRTUELLES EMBARQUEZ avec Virtual Regatta pour les plus célèbres courses au large, Vendée Globe, Route du Rhum, The Transat …. véritables invitations aux voyages, à la découverte d’espaces et de milieux inconnus. Les régates virtuelles sont un excellent moyen de participer, de façon virtuelle aux grandes courses au large dans le même espace temps que celles qui se déroulent réellement. C’est aussi l’occasion de créer une émulation au sein des clubs du CDV93 en permettant aux compétiteurs qui se taquinent d’ordinaire sur l’eau, de se mesurer virtuellement !!! Pour le Vendée 2021, une trentaine de concurrents du CDV93 étaient en lice, dont 2 écoles. Ce challenge virtuel, animé quotidiennement par Jean-Luc du Club 2DN Voile a permis à Romain P. du Club PNP de remporter un week-end de navigation sur le Sun Odyssey 39Ip du CDV93, mis en jeu au début de la compétition, et de passer en douceur de la navigation virtuelle …. au réel ! En savoir plus sur le site de Jean Luc …. LES RÉGATES EXTÉRIEURES Les Régates extérieures permettent aux adhérents des Clubs du CDV93 de varier leurs terrains de jeux. C’est aussi l’occasion de se mesurer avec d’autres compétiteurs et d’autres stratégies …. pROJET Mini - Transat 2023 La Mini Transat est une course de 4050 milles nautiques en solitaire sur les plus petits bateaux de course au large de seulement de long. Nelson et son Mini Feng sont prêts à tenter l’aventure …. à suivre ….
Ilsparticipent à une régate entre Saint-Brieuc et Saint-Malo
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Lamajorité des régates locales sont ouvertes aux bateaux de croisière avec à bord des marins lambdas cherchant seulement un prétexte pour aller en mer et profiter d'un espace de liberté. L'idée de participer à une Mercredi 10 février s'ouvre à Lorient, le procès de Yann Guichard, skipper et patron du maxi trimaran Spindrift, à l'origine d’un accident avec un semi-rigide, survenu le 16 juin dernier, lors du départ de la Volvo Ocean Race, dont l'une des passagères a dû être amputée. Jérôme Heilikman, chef de la rubrique juridique d'ActuNautique et président de Legisplaisance explique les nombreuses implications juridiques d'une telle affaire... A quelques jours du procès programmé qui opposera une jeune femme amputée d’une jambe lors de la collision avec le trimaran Spindrift 2 au skipper professionnel Yann Guichard, cette affaire dramatique soulève de nombreuses questions juridiques… aux conséquences économiques tout aussi importantes. Le tribunal devra déterminer les circonstances exactes du drame et notamment les chefs de responsabilité du Spindrift Délimitation de la zone de course et de la zone d'exclusion Responsabilité exclusive Responsabilité partagée entre Spindrift, le zodiac et l'organisateur de la course Faute de la victime Cet événement renvoie à la notion d'abordage et de phase d'attente ou d’entraînement en amont d'une compétition nautique, phase qui suscite nombre d’interrogations depuis quelques années. Cette problématique de délimitation entre la phase d'entrainement et la compétition est d'autant plus opportune au regard des contrats d'assurances. En outre, cette délimitation est particulièrement délicate dans l'univers de la compétition nautique où se distingue lors d'une régate, phase d'entrainement, phase d'attente dans l'hypothèse de plusieurs séries de supports au départ et enfin phase de compétition. En principe les compagnies d'assurance rejettent toute prise en charge de leur assuré, exception faite de dispositions particulières, quand les dommages résultent d'une participation à des régates et des courses croisières, ainsi qu'à leur entrainement. Si la question ne donne pas lieu à débat concernant la phase de compétition proprement dite, celle-ci étant aujourd'hui clairement délimitée, la question concerne surtout la notion d'entrainement. Lors d'une manifestation nautique sportive, où se situe la limite entre la fin de l'entrainement et le début de la compétition ? Doit-on appréhender la phase d'attente préalable au signal de départ comme le commencement de la compétition ou comme une extension de l'entrainement ? Doit-on privilégier l'idée que le fait pour un plaisancier, dans l'attente du signal de départ, de venir en aide à un autre compétiteur, au risque de retarder son départ, est synonyme d'une phase hors compétition ? Au contraire, doit-on considérer que les accident survenus entre des concurrents à l’entraînement évoluant sur un plan d'eau délimité dans l'optique d'une régate, zone exclusivement dédiée à l’activité sportive, sont des accidents nécessairement inhérents à la compétition ? Notion juridique de l'abordage L'abordage consiste en la collision entre deux navires. La question qui se pose à ce sujet est, au cas de dommages résultants d'une telle collision, comment gérer la responsabilité de chaque navire, et de chaque capitaine ou skipper. Les règles de l'abordage sont applicables à la réparation des dommages qu'un navire a causés, soit par exécution ou omission de manœuvre, soit par inobservation des règlements, à un autre navire, ou aux personnes ou aux choses se trouvant à leur bord, alors même qu'il n'y aurait pas eu abordage. Les articles L. 5131-1 et s. du Code transports définissent le régime de responsabilité applicable en matière d’abordage entre navires de mer ou entre navires de mer et bateaux de navigation intérieure et doivent donc régir la collision entre deux bateaux de plaisance. L'article L. 5131-3 du Code des transports distingue deux catégories d'abordage Si l'abordage est causé par la faute de l'un des navires, la réparation des dommages incombe à celui qui l'a commise. Si l'abordage est fortuit, s'il est dû à un cas de force majeure ou s'il y a doute sur les causes de l'accident, les dommages sont supportés par ceux qui les ont éprouvés, sans distinguer le cas où soit les navires, soit l'un d'eux, étaient au mouillage au moment de l'abordage. L'article L. 5131-4 du Code des transports précise S'il y a faute commune, la responsabilité de chacun est proportionnelle à la gravité des fautes respectivement commises. Toutefois, si, d'après les circonstances, la proportion ne peut être établie ou si les fautes apparaissent comme équivalentes, la responsabilité est partagée par parties égales. Soulignons que l'action en réparation des dommages se prescrit par deux ans à partir de l'événement. Abordage à l'occasion d'une compétition nautique Un arrêt de la Cour de cassation rendu le 18 mars 2008 pourvoi n°06-20558 dans une affaire relative à un abordage entre deux catamarans, a rappelé qu'en cas d'abordage entre navires de mer, ou entre navires de mer et bateaux de navigation intérieure, sans qu'il y ait lieu de distinguer le cas où ceux-ci participaient à une régate, les indemnités dues à raison des dommages causés aux navires, aux choses ou aux personnes se trouvant à bord doivent être réglées conformément aux dispositions du chapitre premier de la loi du 7 juillet 1967 relative aux événements de mer, qui commandent, avant toute mise en cause d'une responsabilité personnelle, de rechercher si les circonstances de la collision révèlent la faute de l'un des navires ou une faute qui leur est commune. Par un ailleurs, la Cour d'appel de Poitiers a du s'interroger dans un arrêt rendu le 22 octobre 2014 sur la définition des navires en course et des navires hors course dans le cadre d'un litige né de l'abordage entre deux voiliers survenus à l'issu d'une régate dans les eaux littorales de Noirmoutier-en-l’Ile. La cour relève qu'un des navires se dirigeait vers la zone de départ afin de participer à la régate de sa catégorie. Quant au second navire, les juges relèvent qu'il avait terminé sa course et s'éloignait de la zone de départ. Dans cette affaire, si aucun des deux navires n'étaient engagé sur le parcours de la régate, tous deux étaient inscrits à cette régate et participaient à celle-ci. Selon la Cour, cette inscription entraîne ipso facto l'applicabilité exclusive des règles de course à la voile quand bien même les participants, ne seraient pas, au moment de l'abordage en action de course. Les spécificités de l'accident de Spindrift Dans l'affaire de l'abordage entre le Spindrift 2 et le zodiac occasionné en marge du départ de la compétition nautique, la solution sera toute autre dès lors que ni le maxi-trimaran, ni le pneumatique ne participait à ladite course. En terme de responsabilité, les conséquences sont loin d'être anodines notamment pour l'organisateur. En effet, un abordage produit dans le cadre d'une compétition nautique peut amener les juges à considérer que les concurrents participent entièrement à leurs propres risques et que les victimes doivent apporter la preuve d'une faute lourde ou dolosive à l'encontre de l'organisateur pour que ce dernier voit sa responsabilité engagée. A l'inverse, en dehors de tout cadre de compétition, les juges pourraient retenir la responsabilité de l'organisateur ayant manqué à son obligation de résultat dans la bonne organisation de la course. La notion de limitation de responsabilité, ou plus exactement, de limitation du montant de la réparation du dommage Une fois les jeux de responsabilité engagés, il convient d'appréhender une spécificité maritime. Le principe en droit terrestre est la réparation intégrale du dommage. Or, le droit maritime connait en la matière une institution particulière et ancienne. Il s’agit de la limitation du montant de la réparation du dommage, car en aucun cas elle ne saurait limiter la responsabilité de la personne qui reste entière. A l’instar de l’organisateur, la responsabilité du chef de bord n’est pas absolue, et il peut voir sa responsabilité limitée en différentes circonstances La loi du 3 janvier 1967 portant statut des navires et autres bâtiments de mer a affirmé que la navigation de plaisance, qu’elle soit compétitive ou de loisir, n’a aucune particularité sur ce point avec la navigation de commerce, solution corroborée par la loi du 3 juillet 1967 sur les assurances maritimes qui prévoit la constitution d’un fonds de limitation en matière de navigation de plaisance. La Chambre commerciale de la Cour de cassation s’est prononcée en ce sens dans un arrêt de principe du 26 mars 1996 où celle-ci affirme que Vu l'article 58 et 59 de la loi du 3 janvier 1967 portant statut des navires ; Attendu que la limitation de responsabilité prévue par l'article 58 de la loi susvisée est applicable aux navires de plaisance ». La limitation de responsabilité doit en effet jouer au profit de tout utilisateur, du moment qu’il est potentiellement rendu responsable d’un dommage. La limitation de responsabilité ne semble donc pas poser de difficulté quant à son application au milieu de la plaisance sportive étant donné que la jurisprudence y est favorable. A juste raison, l’extension du principe se justifie par la présence, tant en mer que dans les eaux intérieures, d’un nombre de plus en plus élevé d’engins de plaisance. Cependant, force est de constater, que les conditions d’application du fonds de limitation de responsabilité est complexe, tant dans sa constitution que dans ses subtilités et que ce mécanisme n’a pas été élaboré pour tous les types d’engin. Reste alors à déterminer la taille ou les caractéristiques du support, au-dessous desquelles la limitation sera exclue. L’étude de cette question est d’autant plus importante que la plupart des navires participants aux manifestations nautiques, entrant dans la catégorie des régates, sont de faibles tailles, encore faut-il s’accorder sur la notion de navire». Il est opportun d’illustrer cette question, toujours objet de controverses, par un arrêt rendu par la Cour d’appel de Caen le 12 septembre 1991 qui énonce que le zodiac est une embarcation frêle, construite en matériau léger, qui n'est pas conçue pour effectuer des expéditions maritimes et dont le rayon d'action est nécessairement limité en raison de l'impossibilité de stocker à bord du carburant, une telle embarcation n'est, à l'évidence, pas concernée par le système complexe de limitation et de constitution du fonds de limitation ». De toute évidence, au regard des critères retenus, si l’argumentation des juges concerne la qualification juridique d’un zodiac, leur décision semble applicable à un spectre d’engins » beaucoup plus large tels que des dériveurs, supports participant régulièrement à des compétitions nautiques. Les motifs d’exclusion au droit à la limitation La Convention du 19 novembre 1976 interdit en effet le bénéfice de la limitation en cas de faute inexcusable. Le Chef de bord participant à une manifestation nautique ne pourra donc pas bénéficier d’une limitation de responsabilité en cas de faute commise témérairement et intentionnellement et avec conscience qu’un dommage en résulterait probablement. La qualification de la faute » sera à l’appréciation des juges et reposera sur des critères tenant à la compétence du Chef de bord mais également des circonstances de la navigation ou de sa préparation. Ici apparaît clairement une difficulté pour les Tribunaux, qui pourraient difficilement concevoir qu’un skipper ou un membre d’équipage amateurs puissent agir avec conscience qu’un dommage résulterait probablement de leur acte. A l’inverse, de nombreuses situations qui auraient été susceptibles de permettre une limitation de responsabilité à un équipage novice, seront probablement appréciées différemment au regard de la qualité d’un Chef de bord professionnel, considéré le plus souvent comme un navigateur expérimenté à partir du moment où il désire participer à une compétition nautique de haut niveau. Il conviendra alors pour la jurisprudence de retenir une conception objective de la faute inexcusable. Autrement dit, celle-ci sera analysée par rapport à une personne normalement avisée et prudente, et probablement retenue dès lors que l’intéressé, non pas avait conscience qu’un dommage résulterait de son acte, mais en aurait dû avoir conscience. A la justice de se prononcer… Pour aller plus loin... Prochain numéro de la Revue du Droit de la Plaisance et du Nautisme Ce guide juridique et pédagogique est un nouvel outil de référence pour les plaisanciers et sera, un compagnon de voyage indispensable pour affronter la houle juridique.... site internet Page facebook LE DROIT DE LA PLAISANCE Broché 240 pages Editeur Ancre de Marine 12 décembre 2014 Collection SANS COLLECTION Langue Français ISBN-10 2841412970 ISBN-13 978-2841412976 Dimensions du produit 22 x 2,5 x 15 cm Au sujet de l'auteur de cet article Titulaire du Master 2 Droit et sécurité des activités maritimes et océaniques de la Faculté de droit de Nantes, Jérôme Heilikman est juriste spécialisé en droit maritime et droit social des marins. Il travaille depuis 2012 à la Sous-direction des affaires juridiques de l’Enim sécurité sociale des marins en charge spécifiquement de la mobilité internationale des marins et de la participation à la codification du Code des transports dans sa partie règlementaire. En parallèle il a cofondé Légisplaisance, association rochelaise qu’il préside et dont l’objet est d’expliquer le droit de la plaisance et de mettre en relation les spécialistes du droit et les plaisanciers. L’association a publié fin 2014 le guide du droit de la plaisance. Avecl’association Le Rocher, Oasis des Cités, des jeunes habitants de la cité de Sainte Musse à Toulon vont participer à la Spi Dauphine, une régate de bateau à voile afin de découvrir la voile en compétition. Quel est le but du Rocher, Ken Read sur Comanche © Jouany Christophe La compétition commence à partir de 11 heures. L’organisation a défini le nombre de classes parmi lesquelles les bateaux seront répartis pour régater cette semaine. Au total, elles seront neuf, avec, dans chacune d’entre elles, des stars de la voile française et internationale. - Publicité - La Direction de course a prévu 21 parcours différents à proposer aux équipages en lice. Des tracés extrêmement variés, adaptés à chacune des classes, comme l’explique Jean Coadou, le Président du comité de course Ils affichent des longueurs comprises entre 15 et 35 milles. Ils seront choisis chaque matin avant 8h30, en fonction des conditions météo. L’une de nos priorités sera de faire en sorte qu’il n’y ait pas de croisements possibles entre les flottes aux passages de marques ». Comme lors de l’édition précédente, les départs seront donnés dans l’est du Pain de Sucre tandis que les arrivées seront jugées devant la plage du Gouverneur. Nous avons choisi d’appliquer le même schéma qu’en 2015. Par ailleurs, nous avons décidé de lancer cinq départs différents afin d’étaler la flotte, principalement pour des raisons de sécurité. Nous débuterons par les plus lents, c’est-à-dire les CSA 4 et les Melges 24, puis nous terminerons par les multicoques », poursuit Jean Coadou. Neuf classes de bateaux Luc Poupon, le Commissaire Général des Voiles de Saint-Barth a tranché, hier soir pour cette 7e édition des Voiles de Saint-Barth, les bateaux en lice seront répartis en neuf classes différentes les Maxi 1, les Maxi 2, les Multi, les CSA 0, les CSA 1 mêlés aux Class40 qui régateront selon leurs propres règles de classe, les CSA 2, 3 et 4 puis les Melges 24. Nous avons défini les classes avec un vrai souci d’équité. L’idée a été de faire en sorte que les flottes soient les plus homogènes possibles afin que la bagarre sur l’eau soit serrée et intéressante, à la fois pour les marins et pour les spectateurs », a détaillé Poupon. Une fois encore, la météo devrait être propice à de belles régates avec un flux d’une quinzaine de nœuds annoncé. Nous sommes vraiment dans un schéma classique pour la saison, avec des régimes de vents d’Est. La première journée sera parfaite. Ensuite, ce sera un peu moins fort, en particulier mercredi, avec dix nœuds sur zone, mais les prévisions sont correctes et vont, à coup sûr, nous permettre de valider de belles régates», promet Jean Coadou, Président du comité de course. Des contrôles de jauge pour une vraie équité sportive Présent à Gustavia depuis samedi, Bastien Pouthier, jaugeur CSA Carribbean Sailing Association, jauge créée afin de promouvoir le yachting aux Caraïbes en proposant une règle de handicap facile à calculer et simple à appliquer procède actuellement à divers contrôles à bord des bateaux des Voiles de Saint-Barth. Son but ? Assurer l’équité sportive, on l’a dit, chère aux organisateurs de l’évènement, et aider les concurrents à optimiser leur handicap sportif. Je les assiste dans la limite de la jauge elle-même. Depuis mon arrivée, je mesure les bateaux qui n’ont pas de certificat, je mets à jours les attestations des équipages qui ont récemment effectué des petites modifications à bord de leur monture, puis je réalise des vérifications sur les bateaux Grand Prix les TP 52, les Ker, les Maxi 72… en reprenant des mesures plus précises », explique Pouthier, qui travaille sur l’évolution technique de la jauge CSA depuis 2007 et maîtrise parfaitement son sujet pour repérer les éventuels filous ». Il existe une correction des compétiteurs entre eux mais mon travail, pendant la course, est d’aller sur l’eau est de vérifier que les équipages naviguent dans la configuration déclarée », a conclu Bastien Pouthier. Des stars en pagaille Outre Ken Read, parrain de cette 7e édition des Voiles et skipper de Comanche, de très nombreux autres marins de renom s’apprêtent à participer à l’évènement. Pour en citer quelques-uns Bouwe Bekking Team Brunel, sept participations à la Volvo Ocean Race au compteur, Brian Thomson Phaedo 3, détenteur du Trophée Jules Verne aux côtés de Loïck Peyron sur le Maxi Banque Populaire V depuis 2012, Guillermo Altadill Varuna VI, deuxième de la dernière Barcelona World Race, mais aussi Peter Harrison Sorcha, Irvine Laidlaw, Mike Topa et Matt Wachowicz Highland Fling, Markus Wieser, Tony Rae Momo. Reste que la plus grosse concentration de stars va sans doute se trouver à bord de Comanche, le 100 pieds de Jim Clark et Kristy Hinze Clark. Jugez plutôt à bord, sont annoncés notamment Stan Honey, Directeur technique de la 34e America’s Cup, vainqueur de la Volvo Ocean Race 2005-200- sur ABN-AMRO puis navigateur à bord de Groupama 3 de Franck Cammas en 2010 pour le record du tour du monde, Shannon Falcone, déjà cinq campagnes de l’America’s Cup à 35 ans, ou encore Nick Dana et Tony Mutter, habitués de la Volvo Ocean Race. Côté français, là encore il va y avoir du monde et du beau avec, pour ne citer qu’eux, Lionel Péan SFS, Eric Dumont et Yves Montanari La Bête, Marc Emig Crédit Mutuel Maximarine, Christine Briand, Jimmy Pahun ou Jacques Caraës. Eux, comme les autres, ont rendez-vous ce lundi à 17 h heure locale pour un briefing skippers avant de rentrer pleinement dans le vif du sujet mardi. Premier signal d’avertissement à 11 heures. Les74 voiliers ont mis les voiles face à un vent de Nord compris entre 5 à 8 nœuds. Le premier départ a été donné à 8 h 50 pour les flammes jaune et blanche (les plus petits bateaux) et second départ à 9 h 05 pour les flammes rose et blanche (les plus gros). Les dauphins étaient, encore une fois, de la partie sur la ligne de départ. De Saint-Malo à Saint-Brieuc, le Challenge Voile Malo est une régate courue en deux à trois manches sur des voiliers habitables de 8 à 13 mètres préalablement choisis par les étudiants. Vous pouvez consulter la liste des bateaux disponibles dans la rubrique régate de type inter-ligue est inscrite au calendrier de la FFV et est organisée par la SNBSM Société Nautique de la Baie de Saint-Malo.Les résultats de la Régate des IUT Ouest France Etudiant Pour cette 19ème édition, la vingtaine de bateaux et la centaine de régatiers sont attendus pour participer à l’évènement 2023. Les skippers et régatiers du Yacht Club de Granville, de la Société Nautique de la Baie de Saint-Malo, du Yacht Club du Val-André et des autres ports des Côtes d'Armor mettent leur expérience et leurs bateaux au service des étudiants, qu’ils soient débutants ou régatiers confirmés. Ils peuvent ainsi découvrir l’univers de la voile grâce à des skippers passionnés, tout en alliant esprit de compétition et autour des valeurs de la voile, cette régate permet aux étudiants d'acquérir l'esprit d'équipe, et surtout de partager une expérience hors du commun avec de nombreux participants venus de la France entière et des acteurs du monde nautique. Véritable vitrine pour les entreprises partenaires, la Régate des IUT Ouest France est le point de rencontre idéal entre professionnels et étudiants. Elle permet une visibilité forte, et est un biais original, dynamique et pertinent pour envisager un recrutement actif. Du débutant au régatier confirmé, la présence de skippers expérimentés donne une chance de victoire à tous les le cap à suivre pour participer à la 19ème édition de la Régate des IUT Ouest France
Leformat d’une régate. Le chantier travaille en partenariat avec le club des Sports nautiques sablais qui exploite une flotte de J 80, à Port-Olona. « Les régates se déroulent en toute
Résultats Rendez vous le 18 et 19 juin 2022, pour l’édition 202 de l’étape du tour de France, qui s’arrête pour 2 jours.. Vous y trouverez un site accueillant, vous retrouvez au sein de notre club, déjà une dizaine de Micro, dont 5 first 18, et espérons que vous viendrez nombreux. RésultatsCN BourgogneCentre Nautique de Bourgogne Pratique de la voile sportive et de loisirs Régates Initiation Dériveurs et Habitables Enfants et adultes Voile Radio Commandée Téléphone 03 86 74 04 43 Samedi après-midi/dimanche Site Web Lac du Bourdon Saint Fargeau 89170 Présidente Christiane Diné 19 rue des vignes 89240 Chevannes 03 86 41 22 76 / 06 83 97 94 32 Un club pour tous Un superbe lac, dans un environnement protégé et cal- me. Les moteurs sont interdits. Les voiliers, rameurs, pédalos et pêcheurs se partagent ces 220 ha de paix Les activités du Club Initiation Jeunes et Adultes Régates Détente La convivialité Le club se veut très convivial. Pour recevoir ses adhérents avant où après les régates, une grande salle avec cheminée et bar permet de refaire la course et de remettre les récompenses. Cette salle permet aussi de se retrouver pour des repas les jours de régate où d’aménagement des installations. L’essentiel des travaux d’entretient du club et des pontons est réalisé lors de ces journées par les adhérents eux-mêmes. Une rampe et un portique sont là pour faciliter la mise à l’eau des bateaux. Les pontons peuvent en accueillir plus de 40. A disposition des adhérents également, un grand parking, un hangar pour ranger du petit matériel, des toilettes et une dou- che. Le terrain peut accueillir temporairement quelques caravanes. Les bords du lac, herbeux et en pente douce permettent également la détente et la trempette aux beaux jours. Les bateaux Le club possède 2 Eclair 19 croiseur habitable, 3 420, 1 Laser, 2 X4, 2 optimistes. Ils sont à disposition des adhérents sans bateau pour découvrir la voile sous toutes ses formes. Les régates De Mars à Octobre, le club organise de 15 à 20 régates chaque année. Ces régates, disputées dans le meilleur esprit sportif et amical, n’en sont pas moins acharnées pour autant. Les bateaux en présence sont soit des classe Micro Microsail, Micro challenger, First 18, Neptune, Flirt, Cap corse, soit des unités plus importantes 590, Start 6, Kelt 780, Jouet 680, Edel 4,6, Djinn. CNB 220 ha de calme dans la verdure Au cœur de la Puisage Régates du ClubRégates comptabilisées au TDF Micro du CN Bourgogne Autres régates du club 25 Sep 22 Régate surprise... C'est une régate ouverte a tous, elle se nomme ainsi, pour une raison simple, elle est dotée de cadeaux surprise, offert par la présidente.. Cela peut aller de raviolis, a une superbe bouteille de champagne en passant par une bricole.. Ve... Lire la suite 26 Jun 22 Femmes à la Barre Bourgogne Mesdames, venez participer à notre régate "Femmes à la Barre" qui se déroule le 26 juin 2022 sur le beau lac du bourdon..dans l'Yonne. Venez en découdre.. Lire la suite 4 Jun 22 Championnat de ligue habitable BFC Pour la saison 2022 la ligue BFC propose a tous les coureurs de se retrouver sur La Saone, au Club de Macon, sur 3 jours, toutes les classes se disputeront le titre de Champion de Ligue BFC. Ce sera la deuxième année que La Ligue de Bourgogne ... Lire la suite 3 Apr 22 Les 6 heures du Bourdon Depuis que le club existe, nous organisons les 6 heures du Bourdon, un ordre est donné, le premier part a 10 h, nous sonnons la fin de la course à 16h.. Venez nombreux, c'est ouvert à tous les coureurs Osiris. Lire la suite 20 Mar 22 Régate du printemps Encore une régate avec un super nom, manière de fêter le printemps.. Lire la suite 13 Mar 22 REGATE DES GLACES Nous commençons avec notre régate "des glaces" l'incontournable, elle débute la saison.. Venez nombreux. Lire la suite 22 May 21 Championnat de ligue habitable BFC Pour la saison 2021 la ligue BFC propose a tous les coureurs de se retrouver sur l'étang de Baye dans la Nièvre, au CNV, sur 3 jours, toutes les classes se disputeront le titre de Champion de Ligue BFC. Lire la suite 28 Mar 21 CRITERIUM DE BOURGOGNE Venez nous rejoindre en Bourgogne qui est réuni tous les mini croiseurs..Venez nous rejoindre..Toujours un accueuil chaleureux. Lire la suite 22 Jun 19 Micro Bourgogne Nous avons préféré annuler la Micro Bourgogne du 22/23 juin 2019 vu la situation du niveau d’eau, et de notre flotte réduite par ce manque d'eau, avons donc décidé de reporter ce bel événement pour Pâques 2020. Malheureusement, les ... Lire la suite 12 May 18 Régate de la ligue de Bourgogne Franche Comté Comme chaque saison, nous organisons les 6 heures du Bourdon, un moment de convivialité sur l'eau, le premier bateau part à 10h et nous sonnons la fin de la course à 16h.. Ensuite tout le monde se retrouve autour de la table pour refaire la ... Lire la suite .